-
Félix Tshisekedi: L'accord de paix entre la RDC et le Rwanda ouvre la voie à une nouvelle ère de stabilité
-
Le sud de l'Europe étouffe sous une chaleur sans répit
-
Cessez-le-feu: L'Iran exprime de "sérieux doutes" quant au respect des engagements d'Israël
-
Le grand-père de la future patronne du MI6 était espion pour les Nazis
Aujourd’hui, la vague rose a envahi la France. Le Parti socialiste se trouve désormais aux commandes du pays avec la présidence de la République, la majorité absolue à l’Assemblée nationale et la majorité au sénat qu’il avait déjà conquise auparavant.
C’est donc le grand chelem que les socialistes réalisent, et c’est une victoire historique pour le PS.
En tout cas, c’est une marque de confiance que les Français ont voulu exprimer à François Hollande, le Président du changement maintenant. C’est aussi une manière pour eux de tourner la page de l’ère Sarkozy.
L’UMP, le parti de droite jusqu’ici majoritaire, et qui a joué son va-tout lors des présidentielles et des législatives, essuie un cuisant échec, se trouvant en inadéquation avec les attentes de ses électeurs. D’autant qu’il s’est compromis avec le Front national, le parti de l’extrême droite.
Le lendemain des échéances électorales va être un moment de vérité pour l’UMP. En même temps, la guerre des chefs qui avait été tue pendant les élections va se déclarer ouvertement, et les prétendants sont nombreux qui se bousculent au portillon.