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D’ailleurs, le dictateur syrien, dans une déclaration prémonitoire, affirme qu’il mourra en Syrie. On sait ce qu’il est advenu d’un autre dictateur, le Libyen Mouammar Kadhafi. Al-Assad ne se fait plus d’illusion. Il sait que ses jours sont désormais comptés. L’étau se resserre de plus en plus autour de lui.
Il est à craindre cependant que dans un acte désespéré, il ne décide à mettre Damas à feu et à sang à l’instar d’autres villes syriennes telles que Homs, Alep et Dyr Azzor…
Perdu pour perdu, l’autocrate syrien voudrait emporter avec lui toute la Syrie. C’est une façon à lui de démontrer son «grand amour», son «patriotisme» pour son pays.
L’après Bachar Al-Assad se prépare déjà. L’opposition unifie ses rangs. Il faut dire que ce n’est pas une démarche aisée étant donné la mosaïque de la population syrienne.
Mais la détermination des uns et des autres a permis aux Syriens de transcender leurs différences, voire leurs différends dans le but de bouter hors du pays le régime honni de Bachar Al-Assad.