L’économie espagnole traverse une période de stagnation malgré les décisions d’impulsion prises par le gouvernement de droite du Premier ministre Mariano Rajoy pour sortir du marasme dans lequel elle est engluée actuellement.
Les mesures d’austérité adoptées ne semblent avoir eu aucun effet pour le redressement de la situation si ce n’est excéder davantage une population qui ne peut plus supporter les affres de la crise. Ce qui n’arrange pas tout ; nombre d’Espagnols commencent à retirer leurs dépôts des banques dont plusieurs sont au bord de la faillite.
Malgré la crise financière et économique dans laquelle se trouve plongée l’Espagne, le gouvernement hésite toujours à demander un plan de sauvetage européen. Cela serait l’ultime recours.
En attendant, le Premier ministre espagnol multiplie les contacts avec les dirigeants européens pour les convaincre de soutenir son pays sans l’obliger à se soumettre au diktat de Bruxelles.
Après avoir rencontré le président du Conseil européen et le président français François Hollande, le chef du gouvernement espagnol s’apprête à recevoir prochainement la chancelière allemande Angela Merkel dans le but de les rallier à son idée d’instaurer une union bancaire européenne, ainsi que la création d’un organisme de contrôle unique.
De telles mesures seraient à même d’aider l’Espagne à surmonter la crise dans laquelle elle se débat et qui se généralise et touche pratiquement toutes les provinces autonomes même celles qui se distinguaient il n’y a pas longtemps par leur dynamisme économique comme c’était le cas de la Catalogne.
Les mesures d’austérité adoptées ne semblent avoir eu aucun effet pour le redressement de la situation si ce n’est excéder davantage une population qui ne peut plus supporter les affres de la crise. Ce qui n’arrange pas tout ; nombre d’Espagnols commencent à retirer leurs dépôts des banques dont plusieurs sont au bord de la faillite.
Malgré la crise financière et économique dans laquelle se trouve plongée l’Espagne, le gouvernement hésite toujours à demander un plan de sauvetage européen. Cela serait l’ultime recours.
En attendant, le Premier ministre espagnol multiplie les contacts avec les dirigeants européens pour les convaincre de soutenir son pays sans l’obliger à se soumettre au diktat de Bruxelles.
Après avoir rencontré le président du Conseil européen et le président français François Hollande, le chef du gouvernement espagnol s’apprête à recevoir prochainement la chancelière allemande Angela Merkel dans le but de les rallier à son idée d’instaurer une union bancaire européenne, ainsi que la création d’un organisme de contrôle unique.
De telles mesures seraient à même d’aider l’Espagne à surmonter la crise dans laquelle elle se débat et qui se généralise et touche pratiquement toutes les provinces autonomes même celles qui se distinguaient il n’y a pas longtemps par leur dynamisme économique comme c’était le cas de la Catalogne.
