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Les taux d’emprunt italiens sur les marchés internationaux se rapprochent de la barre fatidique des 7%. Et c’est dans ces circonstances que l’Irlande et le Portugal ont été contraints de se tourner vers l’aide internationale. D’autant que les banques italiennes sont sous pression en Bourse. Un signe de la méfiance des investisseurs. Sans oublier que le Trésor italien a programmé récemment une adjudication de dette.
Il n’est pas étonnant de voir l’Italie se résoudre à demander prochainement le soutien européen pour éviter la banqueroute.
En attendant, le Premier ministre italien appelé à la rescousse après la débâcle de Berlusconi, ne l’entend pas ainsi et refuse de croire en la fatalité. Il se fâche même contre ceux qui affirment que l’Italie est condamnée à demander l’aide internationale pour s’en sortir. Des propos inappropriés, selon Mario Monti. Pour lui, l’Europe doit se consacrer d’abord et avant tout à la relance de la croissance afin que celle-ci se développe. Cela devrait être l’objet de la réunion du prochain sommet européen, soutient Mario Monti.

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