L’Iran, pays honni et cible de menaces américaines, israéliennes et d’autres pays occidentaux à cause de ses projets nucléaires, a décidé de passer à l’offensive au cas où son pétrole, principale source de richesse, serait soumis à un boycott.
Si tel est le cas, le régime des mollahs décidera alors de bloquer le détroit d’Ormuz dans le Golfe arabique par où transite presque la moitié du pétrole mondial.
Si la mesure de représailles iranienne est mise à exécution, le monde connaîtra une nouvelle crise pétrolière dont les conséquences seraient désastreuses pour une économie internationale déjà malmenée.
On sait que par le passé Téhéran a déjà eu recours au blocus du détroit d’Ormuz, mais pas pour longtemps.
Tout en faisant planer sa menace, l’Iran se dit en même temps disposé à revoir sa position si ceux qui veulent prendre des mesures de sanction contre ses exportations pétrolières reviennent sur leur décision.
Certes, le blocus du détroit d’Ormuz provoquera une grande crise pétrolière internationale, mais l’Iran n’y échappera pas. Il sera lui aussi touché par ses retombées.
Pour le moment, nous ne sommes pas là ! Les uns et les autres vont réfléchir à deux fois avant de passer à l’acte!
Le boycott du pétrole iranien fait partie des mesures de sanction prises contre le régime iranien qui développe un programme nucléaire dont la finalité serait de disposer d’une arme nucléaire.
Ce dont Téhéran se défend. Pour les Iraniens, leur programme nucléaire n’a pas un caractère militaire.
Mais les déclarations du régime iranien ne semblent pas convaincre grand monde tant Téhéran entoure ses recherches nucléaires d’un grand mystère !
Si tel est le cas, le régime des mollahs décidera alors de bloquer le détroit d’Ormuz dans le Golfe arabique par où transite presque la moitié du pétrole mondial.
Si la mesure de représailles iranienne est mise à exécution, le monde connaîtra une nouvelle crise pétrolière dont les conséquences seraient désastreuses pour une économie internationale déjà malmenée.
On sait que par le passé Téhéran a déjà eu recours au blocus du détroit d’Ormuz, mais pas pour longtemps.
Tout en faisant planer sa menace, l’Iran se dit en même temps disposé à revoir sa position si ceux qui veulent prendre des mesures de sanction contre ses exportations pétrolières reviennent sur leur décision.
Certes, le blocus du détroit d’Ormuz provoquera une grande crise pétrolière internationale, mais l’Iran n’y échappera pas. Il sera lui aussi touché par ses retombées.
Pour le moment, nous ne sommes pas là ! Les uns et les autres vont réfléchir à deux fois avant de passer à l’acte!
Le boycott du pétrole iranien fait partie des mesures de sanction prises contre le régime iranien qui développe un programme nucléaire dont la finalité serait de disposer d’une arme nucléaire.
Ce dont Téhéran se défend. Pour les Iraniens, leur programme nucléaire n’a pas un caractère militaire.
Mais les déclarations du régime iranien ne semblent pas convaincre grand monde tant Téhéran entoure ses recherches nucléaires d’un grand mystère !
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