Bachar Al Assad agit comme une anguille qui glisse, et sa horde joue la montre en intensifiant son massacre contre la population et en mettant en ruine toutes les villes et localités qui ont le malheur de s’opposer au régime en place. La soldatesque syrienne s’est permis de franchir les frontières du pays et de bombarder les camps de réfugiés dans les pays voisins.
Tant qu’il bénéficie du soutien de la Russie, de la Chine et de l’Iran, le régime syrien s’accorde toutes les libertés pour poursuivre inlassablement la chasse à ses opposants utilisant toute son armada et son arsenal militaire.
Aujourd’hui, la Syrie offre le visage hideux d’un pays complètement en décombres. Il rappelle celui du Liban détruit par les Israéliens dans les années 80 ou celui encore de l’Irak détruit par les bombardiers américains sans parler des images en noir et blanc des villes allemandes tombées sous les bombes des forces alliées.
Jusqu’à quand le régime syrien va-t-il continuer à sévir sans ménage contre sa population malgré l’indignation suscitée à travers le monde sauf dans de rares pays qui restent les soutiens indéfectibles de Bachar Al Assad ?
Est-ce que le poker menteur utilisé jusqu’ici par les dirige ants de Damas aura raison de la patience de la communauté internationale ou, excédée, l’opinion mondiale va avoir le dernier mot pour rappeler à l’ordre le régime au pouvoir en Syrie afin qu’il arrête le massacre de son peuple ?