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Se ressourcer en matière artistique est un besoin vital pour la créativité et l’innovation. Hassan Mégri, cofondateur du groupe fétiche « Frères Mégri » et l’un des vétérans de la musique moderne au Maroc, en avait fait l’expérience en 1968. S’en sont suivis des résultats fascinants. L’objectif avait été tout simplement de découvrir d’autres horizons culturels et de se ressourcer au contact d’autres civilisations et cultures.
Comme dirait l’adage « tel père tel fils », le chanteur et compositeur Nasr Mégri a entrepris récemment, cinquante ans après, son propre périple et aux mêmes contrées. L’occasion était bien évidemment la célébration du 150ème anniversaire de la mort de Mahatma Ghandi, apôtre de la non-violence. Autres temps, autres conditions, mais l’objectif reste le même : puiser dans des cultures aussi bien authentiques qu’enrichissantes et échanger son art et sa culture avec les autres.
Dans la ville d’Ahmedabad, sa rencontre avec les musiciens et artistes indiens, le public et l’ambiance musicale de ce pays étaient « magnifiques voire mythiques» comme le commente l’artiste Mégri lui-même. « C’est difficile de ne pas s’éblouir avec tant de culture, tant d’originalité et tant d’amour pour l’art. Les Indiens apprécient à sa juste valeur l’art musical, et sans comprendre, ils ont été réceptifs et interactifs, ce qui avait donné à cet échange un caractère de fusion spirituelle », raconte Mégri. La communion artistique a atteint son paroxysme lorsque le jeune chanteur marocain a interprété en indien cette fois-ci l’un de leurs morceaux fétiches : «Vaishnav Jan Tou »… et pour boucler la boucle, le public indien a su aimer et répéter en chœur le refrain de « Halouma », nouvelle chanson de Nasr Mégri.
Par ailleurs, le jeune chanteur donne prochainement rendez-vous à ses fans pour la présentation d’un nouveau tube, labellisé « Mégri », qu’il interprètera avec la diva Jalila Mégri. Cet opus est supervisé et composé par Hassan Mégri. Le plus beau donc reste à voir et surtout … à écouter !
Comme dirait l’adage « tel père tel fils », le chanteur et compositeur Nasr Mégri a entrepris récemment, cinquante ans après, son propre périple et aux mêmes contrées. L’occasion était bien évidemment la célébration du 150ème anniversaire de la mort de Mahatma Ghandi, apôtre de la non-violence. Autres temps, autres conditions, mais l’objectif reste le même : puiser dans des cultures aussi bien authentiques qu’enrichissantes et échanger son art et sa culture avec les autres.
Dans la ville d’Ahmedabad, sa rencontre avec les musiciens et artistes indiens, le public et l’ambiance musicale de ce pays étaient « magnifiques voire mythiques» comme le commente l’artiste Mégri lui-même. « C’est difficile de ne pas s’éblouir avec tant de culture, tant d’originalité et tant d’amour pour l’art. Les Indiens apprécient à sa juste valeur l’art musical, et sans comprendre, ils ont été réceptifs et interactifs, ce qui avait donné à cet échange un caractère de fusion spirituelle », raconte Mégri. La communion artistique a atteint son paroxysme lorsque le jeune chanteur marocain a interprété en indien cette fois-ci l’un de leurs morceaux fétiches : «Vaishnav Jan Tou »… et pour boucler la boucle, le public indien a su aimer et répéter en chœur le refrain de « Halouma », nouvelle chanson de Nasr Mégri.
Par ailleurs, le jeune chanteur donne prochainement rendez-vous à ses fans pour la présentation d’un nouveau tube, labellisé « Mégri », qu’il interprètera avec la diva Jalila Mégri. Cet opus est supervisé et composé par Hassan Mégri. Le plus beau donc reste à voir et surtout … à écouter !