
Lindsay Lohan devrait sortir d’une cure de désintoxication. Impuissante à lutter contre son addiction à l’alcool, Lindsay ne voudrait plus vivre à New York et Los Angeles, villes qui ne feraient que raviver ses démons. Elle voudrait s’installer seule quelque part aux Etats-Unis où elle serai loin des tentations. Terrorisée à l'idée d'une nouvelle rechute, la fuite serait pour elle sa seule solution de survie. Disparaître pour combien de temps ? Aussi longtemps qu'il le faudra.
Condamnée à résider 90 jours au centre afin de soigner son addiction à l'alcool, l'actrice a tout d'abord mis les pieds dans un premier établissement en Californie avant de faire demi-tour immédiatement. Finalement Lindsay Lohan est entrée au centre Betty Ford en Californie. Avant de commencer sa dernière cure, Lindsay Lohan expliquait encore : "M'envoyer sans arrêt en cure ne sert à rien. La première fois que la justice m'a condamnée à séjourner en cure, je me suis dit que c'était une blague". La starlette américaine est allée six fois en cure de désintox. "Je pense qu'il y a d'autres choses que je pourrais faire qui me seraient davantage bénéfiques", avait-elle ajouté.
En attendant, Lindsay Lohan n’en a pas fini avec la justice américaine. L’entreprise qui fabriquait les vêtements de la ligne qu’elle a créée, 6126, lui réclame cinq millions de dollars. Son image de droguée aurait fait perdre des millions de dollars à la firme.
Condamnée à résider 90 jours au centre afin de soigner son addiction à l'alcool, l'actrice a tout d'abord mis les pieds dans un premier établissement en Californie avant de faire demi-tour immédiatement. Finalement Lindsay Lohan est entrée au centre Betty Ford en Californie. Avant de commencer sa dernière cure, Lindsay Lohan expliquait encore : "M'envoyer sans arrêt en cure ne sert à rien. La première fois que la justice m'a condamnée à séjourner en cure, je me suis dit que c'était une blague". La starlette américaine est allée six fois en cure de désintox. "Je pense qu'il y a d'autres choses que je pourrais faire qui me seraient davantage bénéfiques", avait-elle ajouté.
En attendant, Lindsay Lohan n’en a pas fini avec la justice américaine. L’entreprise qui fabriquait les vêtements de la ligne qu’elle a créée, 6126, lui réclame cinq millions de dollars. Son image de droguée aurait fait perdre des millions de dollars à la firme.