
Scandale ! L’aumônier du Val-de-Grâce et son supérieur, l’évêque aux Armées ont, tous deux, la chanteuse Arielle Dombasle dans leur ligne de mire. La raison ? Cette dernière a tourné, mardi 4 juin, au sein de la chapelle de l’hôpital militaire le clip de sa reprise de l’Ave Maria de Gounod, et ce «sans l’aval de l’aumônerie militaire» rapporte l’évêque aux Armées.
Ainsi, une enquête de commandement est actuellement en cours, a informé le médecin-chef Denis Gutierrez, responsable de la communication du Service de santé des armées du Val-de-Grâce. Et de continuer : «Il n’y a eu aucune atteinte au caractère sacré du lieu», avant d’indiquer : «Le Service de santé des armées présente ses excuses par ma voix si jamais on a pu choquer ou blesser les croyants».
De son côté, l’aumônier, le père Dollé est radical : « Le Val-de-Grâce, ce n’est pas le Crazy Horse » a-t-il déclaré, faisant référence à la période où la chanteuse comparaissait sur la scène du cabaret parisien.
Suite à cette polémique, Arielle Dombasle, rappelant sa foi catholique, a tenu à indiquer qu’elle était «navrée», mais également «blessée» par «un a priori très fort».
Ainsi, une enquête de commandement est actuellement en cours, a informé le médecin-chef Denis Gutierrez, responsable de la communication du Service de santé des armées du Val-de-Grâce. Et de continuer : «Il n’y a eu aucune atteinte au caractère sacré du lieu», avant d’indiquer : «Le Service de santé des armées présente ses excuses par ma voix si jamais on a pu choquer ou blesser les croyants».
De son côté, l’aumônier, le père Dollé est radical : « Le Val-de-Grâce, ce n’est pas le Crazy Horse » a-t-il déclaré, faisant référence à la période où la chanteuse comparaissait sur la scène du cabaret parisien.
Suite à cette polémique, Arielle Dombasle, rappelant sa foi catholique, a tenu à indiquer qu’elle était «navrée», mais également «blessée» par «un a priori très fort».