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La salle de spectacles de l’Institut français de Marrakech servira de cadre, mardi 2 novembre prochain, à 15h30 et 19h, à la représentation de « Peau d’âne », une pièce inspirée du conte de Charles Perrault, adaptée et mise en scène par Lazare Herson-Macarel. Avec Pauline Baleatto, Clovis Fouin, Lazare Herson-Macarel et Morgane Nairaud.
« Peau d’âne » raconte l’histoire d’une princesse qui, pour s’échapper du château de son enfance où prévaut un pressant désir paternel et royal, se couvre d'une peau d'âne pour ne pas être reconnue. Pour découvrir, par la suite, la vérité du monde. Une vérité où cohabitent solitude, misère, effroi, travail et cruauté. Mais aussi, et surtout, « amour ».
Cette pièce nous entraine dans « un voyage initiatique et quête de soi, folie des adultes et sagesse des enfants, difficile apprentissage de l'obéissance et de la désobéissance, repentir du méchant et triomphe de la vertu. Rien ne manque à l'histoire de « Peau d'âne ». C'est une enfance semblable à toutes les enfances : unique, âpre, exaltante et solitaire », souligne-t-on à l’Institut français de Marrakech.
La joie d'apprendre et de découvrir de cette jeune princesse aura-t-elle raison de toutes les terreurs et de tous les chagrins qui minent le monde ? Ce monde qu’elle vient de découvrir. La réponse se trouve du côté de l’IF de Marrakech.
« Peau d’âne » bénéficie de la collaboration artistique de Lola Lucas et scénographique de Alice Duchange. Avec Jérémie Papin assisté de Thomas Chrétien (lumière et construction), Juliette Gaudel (costumes et accessoires) et John Kaced au son.
« Peau d’âne » raconte l’histoire d’une princesse qui, pour s’échapper du château de son enfance où prévaut un pressant désir paternel et royal, se couvre d'une peau d'âne pour ne pas être reconnue. Pour découvrir, par la suite, la vérité du monde. Une vérité où cohabitent solitude, misère, effroi, travail et cruauté. Mais aussi, et surtout, « amour ».
Cette pièce nous entraine dans « un voyage initiatique et quête de soi, folie des adultes et sagesse des enfants, difficile apprentissage de l'obéissance et de la désobéissance, repentir du méchant et triomphe de la vertu. Rien ne manque à l'histoire de « Peau d'âne ». C'est une enfance semblable à toutes les enfances : unique, âpre, exaltante et solitaire », souligne-t-on à l’Institut français de Marrakech.
La joie d'apprendre et de découvrir de cette jeune princesse aura-t-elle raison de toutes les terreurs et de tous les chagrins qui minent le monde ? Ce monde qu’elle vient de découvrir. La réponse se trouve du côté de l’IF de Marrakech.
« Peau d’âne » bénéficie de la collaboration artistique de Lola Lucas et scénographique de Alice Duchange. Avec Jérémie Papin assisté de Thomas Chrétien (lumière et construction), Juliette Gaudel (costumes et accessoires) et John Kaced au son.