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Le Maroc prend part à la 12ème édition du Festival des cultures du monde Mosaïques, qui se tient du 3 au 12 juin à Londres.
Au départ d’un périple cinématographique devant emporter le public dans 15 pays à travers le monde, les organisateurs ont projeté récemment le film marocain “Casa negra” du réalisateur Nourredine Lakhmari.
Projeté pour la première fois sur les écrans britanniques, le film a transporté l’assistance dans l’univers “chaotique mais beau, cruel et attachant” de Casablanca.
Le Casa negra, tel que son titre le transpose, a montré le côté “noir” de la ville blanche, qui sert comme toile de fond à une histoire d’amour de deux amis d’enfance pour leur cité natale.
“Loin de dénoncer le désenchantement d’une génération ou la décrépitude d’une ville”, Casa negra a avant tout transmis l’espoir qui anime les deux protagonistes Adil et Karim d’un avenir meilleur.
Adil avec ses rêves d’un ailleurs qu’il imagine clément, riche et civilisé et Karim plus lucide et responsable, en charge de sa famille et prêt à tout pour améliorer sa situation. L’esthétique a également été mise à contribution pour servir la dualité noir-blanc dans ce long métrage. Lakhmari a su avec merveille filmer la splendeur des vieux quartiers Art Deco de Casablanca dont la blancheur des murs se détache du misérable décor contemporain de la ville.
Une sélection de remarquables longs et moyens métrages du nouveau cinéma mondial est aussi prévue dans le cadre de Mosaïques 2010 célébrant la diversité culturelle.
Des films algérien, libanais, irakien, rwandais, malien, cambodgien, brésilien et canadien entre autres figurent au menu de cette manifestation artistique.
Le festival, parrainé par l’Institut français de Londres, prévoit également des concerts de musique et workshops.
Au départ d’un périple cinématographique devant emporter le public dans 15 pays à travers le monde, les organisateurs ont projeté récemment le film marocain “Casa negra” du réalisateur Nourredine Lakhmari.
Projeté pour la première fois sur les écrans britanniques, le film a transporté l’assistance dans l’univers “chaotique mais beau, cruel et attachant” de Casablanca.
Le Casa negra, tel que son titre le transpose, a montré le côté “noir” de la ville blanche, qui sert comme toile de fond à une histoire d’amour de deux amis d’enfance pour leur cité natale.
“Loin de dénoncer le désenchantement d’une génération ou la décrépitude d’une ville”, Casa negra a avant tout transmis l’espoir qui anime les deux protagonistes Adil et Karim d’un avenir meilleur.
Adil avec ses rêves d’un ailleurs qu’il imagine clément, riche et civilisé et Karim plus lucide et responsable, en charge de sa famille et prêt à tout pour améliorer sa situation. L’esthétique a également été mise à contribution pour servir la dualité noir-blanc dans ce long métrage. Lakhmari a su avec merveille filmer la splendeur des vieux quartiers Art Deco de Casablanca dont la blancheur des murs se détache du misérable décor contemporain de la ville.
Une sélection de remarquables longs et moyens métrages du nouveau cinéma mondial est aussi prévue dans le cadre de Mosaïques 2010 célébrant la diversité culturelle.
Des films algérien, libanais, irakien, rwandais, malien, cambodgien, brésilien et canadien entre autres figurent au menu de cette manifestation artistique.
Le festival, parrainé par l’Institut français de Londres, prévoit également des concerts de musique et workshops.