Autres articles
-
Célébration de la Journée internationale des monuments et des sites
-
La SNRT forme des étudiants de l’ISADAC aux métiers de la réalisation et la scénographie
-
Mohamed Mbarki : Le 4ème Salon maghrébin du livre d'Oujda propose une programmation innovante
-
"Lettres du Maghreb”: Conférence autour de la réalité du roman arabe
-
Colloque inaugural à Rabat de la 8ème Semaine de la langue espagnole au Maroc
“Le patrimoine oral à Tafilalet : typologie et composantes” est l’intitulé d’un ouvrage en trois volumes, paru récemment, en langues arabe et amazighe, aux “Imagerie-pub” à Fès, sous la direction des écrivains et chercheurs Said Karimi et Moha Souag.
Edité avec le soutien de l’Initiative nationale pour le développement humain (INDH), cet ouvrage a nécessité la conjugaison des efforts de plus de quarante chercheurs académiques, et néanmoins férus du patrimoine oral du Tafilalet qui ont fait appel à la mémoire comme aux méthodologies scientifiques pour restituer une richesse artistique multiethnique et multilinguistique.
“Le souci d’entreprendre des recherches dans le patrimoine oral du Tafilalet n’est point un hasard, c’est plutôt une résultante logique et naturelle de son importance capitale, de par sa richesse, sa diversité et son prolongement historique et son ouverture sur une palette de cultures... “, a souligné Said Karimi, secrétaire général de la section locale de l’Union des Ecrivains du Maroc (UEM), instance qui a supervisé ce grand projet culturel.
Les deux premiers volumes de ce dur turbin, déclinés en 726 pages, compilent des textes de Madih, Melhoun, Jorfi, Beldi, Gnaoui, Mellouli, proverbes, énigmes, contes et historiettes, ainsi que le Zajal (poésie dialectale). Une richesse culturelle qui a été sauvée de dilapidation. Si les auteurs de beaucoup de textes collectés restent inconnus, notamment en matière de Madih, d’autres par contre sortent de leur anonymat, tels Moulay Idriss Azizi Alaoui, Abdelkerim Sadki Hilali, Mustapha Abdessamii Alaoui, Driss Ben Bouazzaoui, Mehdi Bouzekri, Hadj Mbarek Sghiri.
Réservé au patrimoine oral amazigh du Tafilalt, le troisième volume (431 pages) reste marqué par la présence de trois graphies, en l’occurrence l’alphabet arabe, l’alphabet latin et le Tifinagh.
Edité avec le soutien de l’Initiative nationale pour le développement humain (INDH), cet ouvrage a nécessité la conjugaison des efforts de plus de quarante chercheurs académiques, et néanmoins férus du patrimoine oral du Tafilalet qui ont fait appel à la mémoire comme aux méthodologies scientifiques pour restituer une richesse artistique multiethnique et multilinguistique.
“Le souci d’entreprendre des recherches dans le patrimoine oral du Tafilalet n’est point un hasard, c’est plutôt une résultante logique et naturelle de son importance capitale, de par sa richesse, sa diversité et son prolongement historique et son ouverture sur une palette de cultures... “, a souligné Said Karimi, secrétaire général de la section locale de l’Union des Ecrivains du Maroc (UEM), instance qui a supervisé ce grand projet culturel.
Les deux premiers volumes de ce dur turbin, déclinés en 726 pages, compilent des textes de Madih, Melhoun, Jorfi, Beldi, Gnaoui, Mellouli, proverbes, énigmes, contes et historiettes, ainsi que le Zajal (poésie dialectale). Une richesse culturelle qui a été sauvée de dilapidation. Si les auteurs de beaucoup de textes collectés restent inconnus, notamment en matière de Madih, d’autres par contre sortent de leur anonymat, tels Moulay Idriss Azizi Alaoui, Abdelkerim Sadki Hilali, Mustapha Abdessamii Alaoui, Driss Ben Bouazzaoui, Mehdi Bouzekri, Hadj Mbarek Sghiri.
Réservé au patrimoine oral amazigh du Tafilalt, le troisième volume (431 pages) reste marqué par la présence de trois graphies, en l’occurrence l’alphabet arabe, l’alphabet latin et le Tifinagh.