-
Dinos Alive ouvre ses portes à Casablanca, pour un voyage immersif au cœur de la préhistoire
-
TB Fès : Plus de 500 bénéficiaires d’une campagne médicale pluridisciplinaire
-
Salé: atelier national sur la violence basée sur le genre dans les espaces numériques
-
Al Hoceima: Lancement de la 2e édition des marchés itinérants
Mardi 14 décembre 2010, sur la route reliant Smimou et Imintlit, une Française née en 1937 a chuté accidentellement de sa caravane qui empruntait un virage sans que son mari ne s'en apercoive. Transportée dans un état très critique au CHP d'Essaouira, les résultats du scanner ont révélé la gravité de ses fractures au crâne.
N'ayant ni les équipements ni les compétences pour faire face à ce cas critique, les responsables sanitaires d'Essaouira décident d'envoyer le cas en urgence au CHU de Marrakech. Et c'est là que s’est posé un vrai problème: les responsables du Centre ont tout simplement refusé d’accepter cette touriste grièvement blessée à la tête. Elle décède quelques minutes après son retour au CHP d'Essaouira.
Depuis hier, une enquête a été diligentée en commun par lesdits ministères en vue d'établier les responsabilités et de comprendre les dessous de cette affaire regrettable.











