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Je n'ai pas de réponse à cette question, et je n'en cherche pas. Je veux juste me charger de toutes les ondes positives qu'ils m'envoient, être à la hauteur de leur confiance et de leur affection. Aujourd'hui, il faut saisir toutes les occasions de se dire qu'on s'aime. C'est cela qui nous rendra plus forts», explique celui qui vit à Los Angeles depuis 2012, avant d’ajouter : «J'ai des projets des deux côtés de l'Atlantique, je peux me payer le luxe de refuser les films qui ne m'intéressent pas. J'ai presque honte de le dire, mais j'ai tout! Je me demande parfois si on ne me fait pas une blague en caméra cachée…».
Concernant Jean-Jacques Goldman et Simone Veil qu’ils surclassent dans ce Top 50, Omar Sy dit qu’il a beaucoup de respect pour eux. «Le Top 50 n'est pas une compétition. Je ne regarde pas à quelle place je suis ni devant qui je me situe, je vois juste que les gens manifestent de l'amour à travers ce sondage. Aujourd'hui, on a l'impression que ce mot est totalement oublié. Alors je vais essayer de le prononcer le plus souvent possible et devenir le champion olympique de l'amour», dit celui qui ne cherche pas à être un exemple pour les jeunes. «L'ado que j'étais à Trappes n'a plus grand-chose à voir avec un jeune de 15 ans qui y vit aujourd'hui, dit-il. Mais notre jeunesse a un rôle décisif à jouer : elle est chez elle, alors c'est à elle de construire le pays qu'elle veut avoir. Elle doit se méfier de tous ceux qui tentent de la convaincre du contraire».