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Arrivé en milieu d'après-midi à Tokyo, M. Obama devait s'entretenir dans la soirée avec le nouveau Premier ministre de centre-gauche, Yukio Hatoyama, élu comme lui sur un programme de changement et de rupture avec le conservatisme.
Les deux hommes devraient insister sur leurs points de convergence en matière de lutte contre le réchauffement climatique, d'aide à l'Afghanistan et de dénucléarisation de la planète, tout en rappelant l'importance de l'alliance nippo-américaine face à l'émergence de la Chine.
Mais le différend sur l'avenir des bases américaines, qui assurent la défense du Japon depuis sa défaite en 1945, planera sur la visite, même si les deux parties ont décidé de confier cette question à une commission ministérielle conjointe.
Dimanche, Obama entamera une visite de trois jours en Chine et achèvera sa tournée par une étape en Corée du Sud.
"La perception commune dans la région, c'est que l'influence américaine a décliné au cours de la dernière décennie en même temps que l'influence chinoise augmentait", a observé Jeffrey Bader, haut conseiller de M. Obama pour les affaires asiatiques. "L'un des messages que le président transmettra au cours de cette tournée, c'est que nous sommes un pays de la région Asie-Pacifique et que nous le resterons longtemps", a-t-il souligné.