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Obama avait confié quelques instants plus tôt avoir choisi de venir sur le continent dans la foulée de sa visite à Moscou et de sa participation au sommet du G8 en Italie "afin de souligner que l'Afrique n'est pas tenue à l'écart des affaires du monde".
Le premier président noir américain, dont le père était kényan, a rencontré son homologue ghanéen John Atta Mills au palais présidentiel d'Accra, qui fut jadis le quartier général des trafiquants européens d'esclaves.
Le Ghana, dont le président a été démocratiquement réélu en janvier dernier, fait figure d'exception dans une Afrique dont l'image à l'extérieur est synonyme de guerres, de pauvreté et de corruption.
"Nous estimons que le Ghana peut être un extraordinaire exemple de succès pour l'ensemble du continent", a dit Obama, auquel la population d'Accra a réservé un accueil chaleureux et haut en couleur."Nous apprécions les signaux positifs que cette visite envoie et continuera à envoyer. Cela nous encourage aussi à consolider les acquis que nous avons réalisés dans notre processus démocratique", lui a répondu le président Mills.Avant de regagner les Etats-Unis au terme d'une visite de moins de 24 heures, le président Obama devait visiter le château de Cape Coast, un fort qui servait autrefois de plaque tournante du trafic transatlantique d'esclaves.