-
L’Agence nationale des eaux et forêts tenue de faire avec
-
La Déclaration du Bahreïn appelle au déploiement de forces internationales de maintien de la paix, relevant des Nations unies, dans les territoires palestiniens occupés
-
Nous réaffirmons que la bande de Gaza fait partie intégrante des territoires palestiniens et de l'Etat palestinien unifié
-
Au CPS de l'UA, le Maroc réitère l’impératif de l’approche Nexus paix, sécurité et développement pour la prévention des conflits en Afrique
-
Des élèves palestiniens en visite au siège du CSEFRS
Les syndicats du secteur, affiliés à la FDT, la CDT et à l’UNTM viennent d’exprimer, via un communiqué rendu public, leur soutien et leur solidarité avec les 4 ingénieurs licenciés de manière abusive le 24 mars dernier.
Dans leur communiqué conjoint, ils soulignent que cette décision irréfléchie viole les dispositions de la nouvelle Constitution et ne respecte pas la convention internationale N° 87 sur la liberté syndicale et la protection du droit syndical.
Après le refus de la direction du Groupe OCP de revoir sa décision hâtive, les 3 syndicats affirment qu’un tel acte ne peut qu’attribuer à attiser la tension dans le secteur, particulièrement en l’étape actuelle marquée par la mise en œuvre des réformes politiques et constitutionnelles que connaît le pays.
Cette décision en contradiction aussi avec la législation du Maroc qui garantit le droit syndical ne peut, poursuit ledit communiqué, vraiment servir la paix sociale voulue et espérée par tous les partenaires sociaux.
Tout en dénonçant toute tentative de restriction ou d’entrave à la liberté syndicale, les syndicats affirment qu’ils ne peuvent laisser passer sous silence cet acte portant atteinte à la pratique démocratique et sont prêts à mener toutes formes de lutte à même de rétablir l’ordre et rendre justice aux hauts cadres licenciés. Cela reflète une mentalité dépassée des responsables censés opter pour la voie du dialogue en vue d’assainir le climat social, et ce pour l’intérêt du Groupe.
A rappeler qu’au lendemain du licenciement des 4 militants, le Syndicat des hauts cadres du Groupe OCP avait qualifié cet acte de dangereux et sans précédent et rendu la direction du Groupe responsable de cette situation malsaine.