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C’est l’une de ces salles mythiques de Tanger, Roxy, bâtie en 1895 et restaurée en 2007, qui abritera à partir d’aujourd’hui et jusqu’au 2 décembre prochain, concomitamment avec le Centre culturel Ahmed Boukmakh, cette dixième édition du festival. Il est, par ailleurs, à rappeler que cette grand-messe du 7ème art rendra hommage cette année à quatre cinéastes marocains et étrangers, notamment à l’acteur égyptien Hani Salama et au critique de cinéma marocain, Ahmed Laftouf, lors de la cérémonie d’ouverture.
Notons également que cette édition se distingue des précédentes par l’instauration d’un marché du film de Tanger. «Avec ce marché, nous voulons créer un espace de rencontres où nos cinéastes pourront être en contact direct avec leurs homologues des différents pays invités», explique le directeur du festival, Mohamed Said Zerbouh, dans une déclaration à la presse. «Cette initiative pourra être très porteuse pour nos jeunes réalisateurs et producteurs qui ne peuvent pas assister à tous les événements cinématographiques en dehors du Maroc. Une occasion de chercher à monter des projets avec d’autres professionnels du secteur ou encore compléter et améliorer leur formation en ce qui concerne l’industrie cinématographique», précise-t-il.
Le festival ne manquera donc pas d’attirer massivement un grand public et de contribuer, sans conteste, à la promotion de la culture de l’image et du cinéma auprès des cinéphiles et de la jeune génération et à permettre à la capitale du Détroit de renouer avec sa vocation de carrefour incontournable du cinéma.