Autres articles
-
"Alchimie III". Une ode à la musique marocaine par Les Voix du chœur
-
Festival de Cannes. La réalisatrice marocaine Asmae El Moudir membre du jury "Un certain regard"
-
Rabat à l’heure du 8ème Festival "Camera Kids"
-
La 4ème édition du Festival national des amateurs du théâtre à Marrakech
-
Tanger vibre au rythme des mélodies envoûtantes du jazz
Le chanteur et musicien, Nouaâmane Lahlou, a sorti, récemment, son nouvel album, composé de sept chansons, dont trois ont été tournées en clip.Dans son nouvel opus, Nouaâmane décline plusieurs styles et offre une diversité puisée dans le patrimoine musical marocain, avec, toutefois, des nuances classiques, romantiques ou encore philarmoniques.Ainsi, cet artiste fait preuve, encore une fois, de l’étendue de son talent et de la profondeur de ses connaissances musicales.
“Radia”, la première chanson de l’album, est dédiée à sa fille, conçue selon des rythmes et mélodies populaires ; ces rythmes qu’on retrouve dans les fêtes de noces ou autres événements joyeux. Une chanson qui reflète la joie et la gaieté que procure “Radia” à Nouaâmane, son papa.
« Tafilalet » fait partie de ses chansons qui rendent hommage aux villes marocaines et qui s’inscrit, de ce fait, dans la lignée de “Chafchaouen”.
Une invitation à la splendeur de Tafilalet, cette région qui a écrit des pages glorieuses de l’histoire du Maroc et qui renferme des trésors naturels et une richesse culturelle. Elle évoque la région et ses gens ainsi que la fusion entre les différentes composantes ethniques de cette région chère à tous les Marocains.
Et pour joindre l’image au son, il l’a tournée en vidéo-clip et mis en exergue sa splendeur naturelle grâce à un tournage très professionnel où l’on retrouve aisément la magie des ksours, des kasbahs et les couleurs de la terre et du ciel, de l’eau et de la végétation. Réalisé par Mohamed Lissir, ce clip reflète parfaitement l’esprit de la chanson, tout comme celui de “Chefchaouen”, la célèbre chanson qui a fait un tabac et conquis tout le monde. Là, aussi, on retrouve la spécificité des cités du Nord avec leurs habitants et leurs costumes, la blancheur des murs et le bleu azur du ciel. “Lamdina lakdima”, une chanson dédiée aux anciens quartiers de la médina qui sont aujourd’hui menacés par la frénésie immobilière.
La troisième chanson, “Lghadi lebladi”, évoque la nostalgie d’un immigré qui ne peut rentrer au pays pour passer ses vacances et qui demande, sur un ton aussi amer que nostalgique à ses compatriotes, en partance au pays, de transmettre son amour et son affection aux membres de sa famille au Maroc. La troupe populaire de Oulad Bouaâzzaoui participe à cette chanson pour donner des airs de “Marsaoui”, alors qu’à la fin, on retrouve un mawal chgouri interprété par Asmae Lazrak, intégrée dans la chanson par Nouaâmane, en guise d’encouragement à ce jeune talent. “Al ma”, (l’eau) est une autre chanson que Nouaâmane a tournée en clip; une chanson qui évoque le problème de la sécheresse et de la rareté de cette denrée menacée de par le monde. C’est un appel solennel pour sensibiliser sur cette problématique surtout en ces temps de changements climatiques et de catastrophes naturelles causées par l’effet de serre. Le tournage du clip, réalisé par Abdessamad Charaf, a eu lieu dans la région d’Akchour dans le Rif et dans l’Etat de Bornéo, en Malaisie qui est connue pour ses terres fertiles et ses vallées verdoyantes. Une autre chanson de l’album s’inscrit dans ce même cadre de sensibilisation aux grandes causes. “Rahma” est le titre de l’histoire d’une fillette atteinte de cancer. Le message porte sur la nécessité de porter secours aux enfants dont la vie est menacée par le cancer et qui ont pourtant beaucoup de chances d’être guéris, pourvu qu’ils soient traités à temps. Il s’agit d’une histoire véridique, une histoire triste d’une fillette qui a pourtant le cœur plein de joie et de gaieté et dont le sourire innocent en dit long sur son amour pour la vie.
Les deux dernières chansons sont “Joconda” et “Raghma al ghiyab”, deux styles tout à fait différents bien qu’ils se retrouvent, tous les deux, dans la nuance classique. “Raghma al Ghiyab” rappelle, en effet, la belle époque, l’âge d’or de la chanson aussi bien au niveau du texte que de la composition. Dans son nouvel album, Nouaâmane Lahlou nous mène dans plusieurs voies où l’on retrouve des thèmes différents qui reflètent notre vie avec ses joies, ses déceptions, ses questionnements et ses craintes. Nouaâmane Lahlou est, sans conteste, un artiste d’une grande sensibilité.
“Radia”, la première chanson de l’album, est dédiée à sa fille, conçue selon des rythmes et mélodies populaires ; ces rythmes qu’on retrouve dans les fêtes de noces ou autres événements joyeux. Une chanson qui reflète la joie et la gaieté que procure “Radia” à Nouaâmane, son papa.
« Tafilalet » fait partie de ses chansons qui rendent hommage aux villes marocaines et qui s’inscrit, de ce fait, dans la lignée de “Chafchaouen”.
Une invitation à la splendeur de Tafilalet, cette région qui a écrit des pages glorieuses de l’histoire du Maroc et qui renferme des trésors naturels et une richesse culturelle. Elle évoque la région et ses gens ainsi que la fusion entre les différentes composantes ethniques de cette région chère à tous les Marocains.
Et pour joindre l’image au son, il l’a tournée en vidéo-clip et mis en exergue sa splendeur naturelle grâce à un tournage très professionnel où l’on retrouve aisément la magie des ksours, des kasbahs et les couleurs de la terre et du ciel, de l’eau et de la végétation. Réalisé par Mohamed Lissir, ce clip reflète parfaitement l’esprit de la chanson, tout comme celui de “Chefchaouen”, la célèbre chanson qui a fait un tabac et conquis tout le monde. Là, aussi, on retrouve la spécificité des cités du Nord avec leurs habitants et leurs costumes, la blancheur des murs et le bleu azur du ciel. “Lamdina lakdima”, une chanson dédiée aux anciens quartiers de la médina qui sont aujourd’hui menacés par la frénésie immobilière.
La troisième chanson, “Lghadi lebladi”, évoque la nostalgie d’un immigré qui ne peut rentrer au pays pour passer ses vacances et qui demande, sur un ton aussi amer que nostalgique à ses compatriotes, en partance au pays, de transmettre son amour et son affection aux membres de sa famille au Maroc. La troupe populaire de Oulad Bouaâzzaoui participe à cette chanson pour donner des airs de “Marsaoui”, alors qu’à la fin, on retrouve un mawal chgouri interprété par Asmae Lazrak, intégrée dans la chanson par Nouaâmane, en guise d’encouragement à ce jeune talent. “Al ma”, (l’eau) est une autre chanson que Nouaâmane a tournée en clip; une chanson qui évoque le problème de la sécheresse et de la rareté de cette denrée menacée de par le monde. C’est un appel solennel pour sensibiliser sur cette problématique surtout en ces temps de changements climatiques et de catastrophes naturelles causées par l’effet de serre. Le tournage du clip, réalisé par Abdessamad Charaf, a eu lieu dans la région d’Akchour dans le Rif et dans l’Etat de Bornéo, en Malaisie qui est connue pour ses terres fertiles et ses vallées verdoyantes. Une autre chanson de l’album s’inscrit dans ce même cadre de sensibilisation aux grandes causes. “Rahma” est le titre de l’histoire d’une fillette atteinte de cancer. Le message porte sur la nécessité de porter secours aux enfants dont la vie est menacée par le cancer et qui ont pourtant beaucoup de chances d’être guéris, pourvu qu’ils soient traités à temps. Il s’agit d’une histoire véridique, une histoire triste d’une fillette qui a pourtant le cœur plein de joie et de gaieté et dont le sourire innocent en dit long sur son amour pour la vie.
Les deux dernières chansons sont “Joconda” et “Raghma al ghiyab”, deux styles tout à fait différents bien qu’ils se retrouvent, tous les deux, dans la nuance classique. “Raghma al Ghiyab” rappelle, en effet, la belle époque, l’âge d’or de la chanson aussi bien au niveau du texte que de la composition. Dans son nouvel album, Nouaâmane Lahlou nous mène dans plusieurs voies où l’on retrouve des thèmes différents qui reflètent notre vie avec ses joies, ses déceptions, ses questionnements et ses craintes. Nouaâmane Lahlou est, sans conteste, un artiste d’une grande sensibilité.