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L’Agence nationale des eaux et forêts tenue de faire avec
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La Déclaration du Bahreïn appelle au déploiement de forces internationales de maintien de la paix, relevant des Nations unies, dans les territoires palestiniens occupés
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Nous réaffirmons que la bande de Gaza fait partie intégrante des territoires palestiniens et de l'Etat palestinien unifié
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Au CPS de l'UA, le Maroc réitère l’impératif de l’approche Nexus paix, sécurité et développement pour la prévention des conflits en Afrique
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Des élèves palestiniens en visite au siège du CSEFRS
D’abord un intellectuel, un philosophe forgeant par le savoir sa conception singulière de la vie, des êtres et des choses. Perception dont il a construit sa manière d’être au monde, d’agir, de parler ou de se taire. De vivre, en somme. C’est la définition même, à mon sens, d’un philosophe.
Le moteur de son parcours fut la passion. De la littérature, de la pensée, des idées, de l’Art et bien sûr du cinéma, de la télévision. C’est dans ces deux derniers domaines que son œuvre aura marqué l’époque et l’esprit de ses contemporains.
Ce fut sa manière de se confronter au réel et de vouloir le transformer vers le meilleur. Il y a imprimé des empreintes indélébiles. Homme cultivé, curieux de tout, exigeant, il aimait débattre, argumenter, inventer, créer, convaincre et rire de l’absurdité du monde.
Il tenait l’amitié pour une valeur suprême et il la cultivait avec une attention rare.
Il aimait passionnément la vie. Et menait sans concession les combats que ses engagements humanistes exigeaient.
Le Maroc perd un homme brillant qui a apporté sa contribution précieuse à l’édifice au service de la Nation. Humblement, naturellement, généreusement. Dignement.
Il fut l’ami de générations de marocains. Il était mon ami. Il va nous manquer dans la douleur et le chagrin. On se souviendra de lui avec respect, tendresse et fierté.
Ma pensée et mes condoléances vont aux siens, à son épouse, ses enfants et ses amis.
Repose en paix, mon frère Noureddine