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L’acteur français de 39 ans a été nommé dans la catégorie “meilleur acteur dans un film dramatique” pour son rôle dans ce film de Kevin Macdonald. Dans ce film inspiré d’une histoire vraie, il incarne Mohamedou Ould Slahi, un Mauritanien suspecté à tort de terrorisme et enfermé pendant 14 ans à Guantanamo. Son avocate, qui le fera libérer à force d’acharnement judiciaire contre l’administration américaine, est jouée par Jodie Foster.
“C’est une histoire vraie qui mérite et qui doit être racontée. C’est terrible ce qu’il s’est passé pour cet homme, dans le coeur duquel règne un message de pardon et de paix. C’est ça le plus important au fond”, a-t-il déclaré à l’AFP. Dépeignant avec précision les conditions extrêmes de détention sur la base américaine installée sur l’île de Cuba, le tournage était “le plus intense que j’ai jamais fait”, a relaté Tahar Rahim. “J’ai dû physiquement me transformer, perdre énormément de kilos en très peu de temps (...) ce qui m’a mis dans un état émotionnel très particulier”. “Le seul moyen que j’ai trouvé pour rendre ces scènes terribles de tortures authentiques, c’était d’en faire un peu l’expérience. D’aller au plus proche. Ce qu’on voit dans le film, je l’ai fait en vrai. J’ai porté de vraies menottes, j’ai été dans ces cellules froides, j’étais « waterboardé » (torturé par simulation de noyade)«forcefillé »(gavé de force de nourriture)”, a-t-il décrit
l’écran, l’acteur révélé en 2009 dans un autre film de prison, “complètement différent” selon lui, “Un prophète” de Jacques Audiard, apparaît métamorphosé, les joues creusées et le crâne rasé. L’acteur d’origine algérienne, qui joue aussi dans la série “The Eddy”, explique “adorer” travailler aux Etats-Unis, mais n’a pas l’intention d’y déménager. “Jouer dans une langue étrangère, c’est une autre façon d’interpréter. Le corps, le visage, bougent différemment l’usage des mots n’est pasle même, donc les émotions et l’interprétation du personnage sont forcement différentes, et ça, c’est très intéressant”, a-t-il ajouté.
Les Golden Globes sont traditionnellement vus comme un marche-pied vers les Oscars, mais Tahar Rahim préfère ne pas y penser: “je vais vivre l’instant présent, je ne veux pas gâcher ça”, dit-il. Mais il conserve un rêve: “j’adorerais me retrouver dans un western”.. Du côté des bons ou des méchants ? “On verra quand on y sera”, sourit-il.
Prix de la poésie

Selon la CPM, qui organise cet évènement en partenariat avec la direction régionale de la culture Fès-Meknès, le prix est ouvert aux candidats de nationalité marocaine ou arabe résidant au Maroc. Les textes doivent être en langue arabe classique et publiés pour la première fois.
Le recueil poétique candidat à ce Prix, qui porte le nom d’un pionnier de la modernité dans la création poétique marocaine, devra être soumis aux organisateurs avant le 25 février. Deux récompenses seront décernées au terme de ce concours. La première est d’une valeur de 10.000 DH. La deuxième œuvre retenue sera éditée par les organisateurs.