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L’officier kazakh dont le prédécesseur et compatriote Daniar Ismailov a été chargé de vérifier les examens en langue anglaise du personnel civil et militaire de la Minurso, aura pour mission, en plus du commandement de la mission onusienne, de garantir la disponibilité de tous les observateurs militaires à accomplir efficacement leurs missions, coordonner toutes les activités des entraînements militaires et définir les priorités d’entraînements complémentaires.
Ce nouveau changement à la tête des postes de commandement de la Minurso, survient quelques jours avant le rapport spécial de l’ONU sur le Sahara, prévu avant la fin du mois d’avril courant et après la mise en garde du Conseil de sécurité contre une éventuelle reprise de la guerre dans la région.
Par ailleurs, le Maroc a levé son veto au retour de 17 agents de la composante civile et politique de la Minurso. «La décision a été prise jeudi dernier à l’issue d’une réunion entre le représentant permanent du Royaume aux Nations unies, Omar Hilale et le nouveau chef des opérations de maintien de la paix, le Français Jean-Pierre Lacroix», a souligné une source bien informée. Celle-ci suppose que cette levée du veto constitue un autre geste par le Maroc en direction du secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres après celui du retrait unilatéral de son armée, en contrepartie du retrait des miliciens du Polisario de la zone de Guerguerat.
La cheffe de la Minurso, la Canadienne Kim Bolduc, a informé les parties concernées du feu vert des autorités marocaines. «Les 17 éléments sont ainsi autorisés à reprendre du service au quartier général de la Minurso, à Laâyoune», ajoute la même source.
Juste après, la direction du Polisario s’est précipitée de poser une autre condition à son retrait de la zone. En effet, elle a exigé sans vergogne la destruction du tronçon construit par l’Armée marocaine en août dernier, avant de retirer ses milices.