-
Félix Tshisekedi: L'accord de paix entre la RDC et le Rwanda ouvre la voie à une nouvelle ère de stabilité
-
Le sud de l'Europe étouffe sous une chaleur sans répit
-
Cessez-le-feu: L'Iran exprime de "sérieux doutes" quant au respect des engagements d'Israël
-
Le grand-père de la future patronne du MI6 était espion pour les Nazis
Dimanche 24 janvier, aucun incident n’a été signalé dans la ville de Jos et à sa périphérie, mais la population et les autorités nigérianes restent vigilantes. Une semaine tout juste après le début des affrontements entre chrétiens et musulmans, les patrouilles militaires étaient plus visibles que la veille, notamment aux abords des églises et dans certains quartiers sud du chef-lieu de l’Etat du plateau.
Les points de contrôles successifs installés le long des différents axes de la ville ont ainsi occasionnés d’interminables embouteillages. Parmi les véhicules il y avait beaucoup de minibus, de taxis et des voitures de particuliers remplis d’effets personnels qui quittaient la ville en direction des localités voisines. Face à ce flot continu de déplacés et aux craintes des populations de voir la ville à nouveau s’embraser, le pouvoir fédéral nigérian tente l’apaisement.
Dimanche, le responsable de la police de l’Etat du plateau, mis en cause pour une déclaration à la presse dans lequel il aurait rendu les musulmans responsables de ces massacres, a été remplacé.