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Au moins quatorze personnes sont portées disparues dans le naufrage de deux embarcations dans la nuit de lundi à mardi sur le fleuve Congo, selon un bilan communiqué mercredi à l'AFP par le ministre de l'Intérieur de la République démocratique du Congo.
"14 disparus, 108 rescapés dont 68 hommes et 44 femmes, un enfant", est le bilan du naufrage qui a eu lieu sur le fleuve dans la province de Mai-Ndombe (sud-ouest), a fait savoir à l'AFP le ministre congolais de l'Intérieur Henri Mova dans un message électronique.
Selon un élu de la région, Didace Pembe, "des centaines de personnes seraient portées disparues", invoquant des témoignages d'habitants. Ces chiffres n'ont pu être confirmés jusque-là par d'autres sources.
Ces "embarcations bondées naviguaient de nuit lorsqu'elles ont été surprises par un vent violent. Dans ce naufrage, il y a eu plus de personnes portées disparues que de rescapés", a soutenu M. Pembe.
Attentat
Six militaires maliens ont été tués dans le centre du Mali dans l'explosion d'une mine au passage de leur véhicule, a-t-on appris mercredi de sources militaires.
"Six militaires maliens ont été tués mardi à l'entrée de la localité de Dioura (centre) lorsque leur véhicule a sauté sur une mine", a déclaré à l'AFP une source militaire malienne.
L'armée malienne a confirmé l'information. "Le (mardi) 27 février 2018 aux environs de 18H30 (GMT), un véhicule" des forces armées maliennes a "sauté sur un engin explosif improvisé à environ 7 km à l'est de Dioura" dans la zone de Ségou. Le bilan est de 6 morts" dont un lieutenant, a-t-elle rapporté mercredi sur son site d'information.
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda. Ces groupes en ont été en grande partie chassés par une intervention militaire internationale, lancée en janvier 2013 à l'initiative de la France et qui se poursuit.