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Quatre salariés d'Air France, des militants syndicaux du personnel au sol de la branche cargo, soupçonnés d'avoir molesté des cadres de la compagnie le 5 octobre ont été interpellés lundi matin à leur domicile et devaient être mis en garde à vue, a-t-on appris de sources policières et judiciaires.
Le directeur des ressources humaines et un responsable de l'activité long-courrier ont été pris à parti le 5 octobre par des salariés en colère après l'annonce d'un plan de licenciement. Les images montrant ces cadres fuyant les manifestants, chemise arrachée et costume déchiré, ont fait le tour du monde.
Selon des sources policières et judiciaires, les interpellés ont été identifiés grâce aux images vidéo de ces incidents.
Kirghizistan
Quatre islamistes se sont échappés dimanche soir d'une prison au Kirghizistan et ont tué trois gardiens, a annoncé lundi le gouvernement. Ils purgeaient des peines de réclusion à perpétuité pour des faits liés à l'extrémisme ou à des entreprises terroristes. Cinq autres prisonniers se sont évadés en même temps que les quatre mais ils ont ensuite été repris.
Sur les quatre hommes encore recherchés, trois sont membres de la Jaish al Mahdi (armée du Mahdi), groupe accusé par les autorités kirghizes d'avoir organisé plusieurs attentats à la bombe et d'avoir préparé un coup d'Etat.
La Russie, qui craint la montée de l'islam militant dans la région, conserve une base aérienne militaire au Kirghizistan tandis que la Chine surveille également de près la situation dans ce pays d'Asie centrale frontalière de sa région ouïghoure autonome du Xinjiang.












