-
Washington approuve la seconde vente d'armes à Taïwan de l'année, pour 11 milliards de dollars
-
Aide à l'Ukraine: les dirigeants de l'UE sommés de trouver une solution
-
Thaïlande-Cambodge: les combats continuent, la Chine tente une médiation
-
Attentat de Sydney: l'Australie enterre une victime de 10 ans et promet de sévir contre l'extrémisme
Trois civils ont été tués mercredi près de Gao, dans le nord du Mali, dans une attaque suicide contre une base de l'ONU qui a fait 16 blessés, dont neuf Casques bleus nigériens, illustrant l'instabilité persistante dans cette région.
L'attaque la plus meurtrière contre la force de l'ONU, en octobre, s'était produite dans le même secteur d'Ansongo, frappant un convoi de ravitaillement du contingent nigérien, qui avait perdu neuf soldats.
En fin de matinée, "un véhicule suicide a explosé à l'entrée du camp de la Minusma à Ansongo dans la région de Gao, alors qu'il tentait d'y pénétrer", a affirmé la Mission de l'ONU au Mali (Minusma).
Birmanie
Seize soldats birmans ont été tués lors d'une offensive contre une place-forte d'un groupe armé rebelle dans le nord du pays, à la frontière chinoise, a annoncé la presse officielle jeudi.
Deux rebelles ont été retrouvés morts sur place, selon ce communiqué officiel. Aucun commentaire n'a pu être obtenu du côté des rebelles Kokang, qui ont repris les hostilités avec l'armée birmane depuis plus de deux mois, après des années d'accalmie.
Ce vieux conflit en sommeil depuis près de six ans a repris début février alors que les autorités tentent de mettre en place un accord national de cessez-le-feu pour mettre fin aux conflits armés avec plusieurs minorités ethniques du pays.











