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La Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) a commencé à examiner hier le rôle qu'a pu jouer le Royaume-Uni dans la mort suspecte, en Irak en 2003, d'un homme qui avait été arrêté par les troupes britanniques. Saisis par le frère de la victime, les 17 juges de la Grande chambre de la CEDH devront dire si Londres, en refusant d'enquêter sur ces faits, s'est rendu coupable de violations de la Convention européenne des droits de l'Homme. Les juges européens ne rendront leur décision que dans plusieurs mois. Elle sera sans appel. La victime, Tarek Hassan, avait été interpellée chez elle, près de Bassorah (sud-est), par des militaires britanniques en avril 2003, peu de temps après l'invasion de l'Irak par une coalition menée par les Etats-Unis.
Etats-Unis
Les Etats-Unis semblaient avoir trouvé mardi 10 décembre une solution pour éviter une réédition en janvier de la paralysie des administrations fédérales, grâce à un accord budgétaire salué par Barack Obama comme une première étape vers un retour à la normale. Le projet de budget, dévoilé mardi au Congrès après des semaines de négociations entre la sénatrice démocrate Patty Murray et le représentant républicain Paul Ryan, fixe le niveau des dépenses et recettes de l'Etat fédéral pendant les deux prochaines années budgétaires (2014 et 2015), tout en atténuant l'impact de coupes budgétaires dites "automatiques", mises en place en mars et critiquées pour leur caractère aveugle. Barack Obama s'est félicité de cette "bonne première étape" et a espéré que l'accord signifierait que "les Américains n'auraient pas à supporter une nouvelle paralysie de l'Etat fédéral dans les deux ans à venir".