-
Félix Tshisekedi: L'accord de paix entre la RDC et le Rwanda ouvre la voie à une nouvelle ère de stabilité
-
Le sud de l'Europe étouffe sous une chaleur sans répit
-
Cessez-le-feu: L'Iran exprime de "sérieux doutes" quant au respect des engagements d'Israël
-
Le grand-père de la future patronne du MI6 était espion pour les Nazis

L’ambassadeur américain pour la Syrie Robert Ford a rencontré plusieurs dirigeants de l’opposition syrienne à Istanbul pour tenter de les convaincre de participer à la conférence de paix Genève-2, a annoncé le département d’Etat mercredi.
Une grande conférence de paix, dite Genève-2, doit se tenir fin novembre mais les leaders de la Coalition de l’opposition, le principal groupe d’opposition en Syrie, doivent décider début novembre de sa participation ou non à la conférence. “Leur participation est cruciale, nous allons continuer à les encourager pour qu’ils prennent part à cette conférence ; c’est pourquoi l’ambassadeur Fordest se trouve sur le terrain pour discuter avec eux à Istanbul”, a ajouté Mme Harf. L’opposition refuse catégoriquement de s’asseoir à la même table que les représentants du régime syrien.
Nucléaire
L’Iran a mis fin à ses opérations d’enrichissement d’uranium à 20%, répondant ainsi à une des principales demandes des puissances engagées dans les discussions sur le programme nucléaire du pays, dit un haut parlementaire iranien.
L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), basée à Vienne et chargée de veiller à la non-prolifération nucléaire, n’a pas souhaité faire de commentaire. Un diplomate en poste dans la capitale autrichienne a dit ne pas avoir eu connaissance de l’arrêt de ces opérations.
Hossein Naqavi Hosseini, un haut responsable de la commission parlementaire de la sécurité nationale, a précisé que Téhéran avait uniquement suspendu les opérations d’enrichissement supérieur au seuil de 5% servant aux activités civiles. Il a indiqué que le pays disposait déjà du stock d’uranium enrichi à 20% nécessaire au fonctionnement de son réacteur de recherches médicales de Téhéran.