-
Détention de Sansal: Ses filles "impuissantes" en République tchèque
-
Le président Trump s'émeut de la faim à Gaza, où Israël poursuit ses frappes meurtrières
-
L'Inde veut que le FMI cesse ses prêts au Pakistan : Islamabad dénonce un appel "désespéré"
-
Pourparlers sur l'Ukraine : Pour le chef de l'Otan, Poutine a fait une "énorme erreur"

Encore une révélation sur l’espionnage américain via Edward Snowden. L’ex-consultant de la NSA, réfugié en Russie, a dévoilé au Guardian que cette agence d’interception des communications partage des données brutes directement avec son homologue israélienne, l’ISNU.
Si l’échange de renseignements entre services alliés est courante, il est bien plus rare qu’il s’agisse comme ici de données «brutes» qui ne sont pas auparavant analysées.
Selon le protocole d’accord entre les deux services, révélé par le journal britannique, la NSA transmet directement à l’ISNU une partie des courriels et autres millions de conversations téléphoniques qu’elle intercepte. Le document de cinq pages transmis par Edward Snowden n’est pas daté mais remonterait à mars 2009.
Libération
Le patron de la chaîne tunisienne Ettounsiya TV, Sami Fehri a été libéré mercredi après plus d’un an d’une détention considérée par sa défense comme une tentative de faire taire une voix critique du gouvernement, selon une journaliste de l’AFP.
M. Fehri, en détention préventive depuis août 2012, est sorti très souriant à 19H00 (18H00 GMT) de la prison de la Mornaguia, en banlieue de Tunis. A sa sortie, son épouse, en larmes, s’est précipitée dans ses bras. L’une des accusations concerne les préjudices financiers causés à la télévision publique tunisienne à l’époque du président déchu Zine El Abidine Ben Ali. M. Fehri, producteur très en vue et ex-associé de la famille de l’ex-chef de l’Etat, risque à ce titre dix ans de prison.