-
Des Américains sanctionnés pour avoir critiqué Charlie Kirk après sa mort
-
Frappes russes en Ukraine : Nouvelle incursion d'un drone dans le ciel d'un pays de l'Otan, en Roumanie
-
Nombre d’habitants ayant quitté Gaza-ville : Israël avance 250.000 et la Défense civile annonce 68.000 personnes
-
Des dirigeants arabes et musulmans lundi au Qatar pour condamner l'attaque israélienne

Le groupuscule activiste, désormais installé à Paris, a brûlé un drapeau salafiste devant la Grande Mosquée de Paris mercredi. En effet, trois féministes du mouvement des Femen ont cru bon par ce fait d’exprimer leur solidarité avec une militante tunisienne et dénoncer les atteintes aux droits des femmes dans les pays arabo-musulmans. Les trois jeunes femmes, deux Françaises et une Tunisienne, ont déployé le drapeau noir des salafistes barré de la «chahada», la profession de foi des musulmans, sur le parvis de la Grande Mosquée, située en plein centre de Paris. Elles l’ont ensuite enflammé, alors que des membres du service de sécurité de l’édifice tentaient de les chasser à coups de pied.
Perquisition
Une perquisition était en cours jeudi matin au bureau et au domicile parisien de l’ex-conseiller de Nicolas Sarkozy, Patrick Buisson, dans l’affaire dite des sondages de l’Élysée, a-t-on appris de source proche du dossier, confirmant une information de M6. «Je ne fais aucune déclaration», a affirmé Patrick Buisson, contacté par l’AFP. En 2009, la Cour des comptes avait épinglé un contrat, passé «sans qu’aucune des possibilités offertes par le code des marchés publics pour respecter les règles de la mise en concurrence (...) n’ait été appliquée». Après une longue bataille procédurale d’Anticor, la Cour de cassation a autorisé en décembre le juge Serge Tournaire à enquêter sur ce contrat.