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Des tests sont en cours pour identifier les chefs islamistes tués au Mali, en particulier Abou Zeïd, déclare dimanche le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius.
Les autorités françaises n’ont pour l’instant pas confirmé les morts, annoncées par le Tchad, des chefs islamistes Mokhtar Belmokhtar et Abou Zeïd. François Hollande a récemment fait état de la mort de «chefs terroristes» au Mali sans les identifier. Aussi tente-t-on de vérifier les informations avant de les authentifier.
Le retrait des forces françaises déployées au Mali dans le cadre de l’opération Serval débutera en avril, confirme par ailleurs le ministre des Affaires étrangères, qui estime que l’armée française est en train de terminer «le plus dur» dans la région des Ifoghas.
… et cocaïne
Le conflit au Mali perturbe l’une des grandes voies d’acheminement de la cocaïne qui traverse le Sahel vers l’Europe mais les trafiquants se sont déjà adaptés en modifiant leurs trajets, estiment des experts interrogés par l’AFP.
Depuis une dizaine d’années, l’Afrique de l’Ouest est devenue une des plaques tournantes du trafic de cocaïne latino-américaine vers l’Europe, profitant de la pauvreté et de la faiblesse étatique des pays de la région.
La drogue arrive par bateau dans le golfe de Guinée ou par avion par des vols directs Venezuela-Mauritanie ou Mali, avant d’être stockée puis redistribuée, par la route, notamment via le Sahel, vers les rives sud de la Méditerranée.