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Quatre personnes, trois Franco-Congolais et un Malien, ont été interpellées mardi matin en région parisienne dans le cadre d’une enquête sur une filière de jihadistes vers le Sahel, a-t-on appris de sources concordantes. Menée par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), cette opération est liée à «l’arrestation d’un individu il y a quelques mois» à la frontière entre le Niger et le Mali, a expliqué le ministre français de l’Intérieur, Manuel Valls, aux médias BFMTV et RMC. Manuel Valls a mis en garde les candidats français au jihad, estimant que les services en avaient recensé «plusieurs dizaines en Syrie», auxquels s’ajoutent «quelques individus au Sahel».Le ministre de l’Intérieur a également prévenu que «d’autres expulsions» d’imams radicaux étaient prévues.
Arrestation
L’ancien procureur de Téhéran, Saïd Mortazavi, un proche du président Mahmoud Ahmadinejad, a été arrêté lundi soir, ont rapporté mardi les médias officiels iraniens sans donner les raisons de cette arrestation. M. Ahmadinejad a violemment attaqué le pouvoir judiciaire en affirmant qu’il s’agissait «d’un acte hideux». «A mon retour à Téhéran, je vais m’occuper de cette affaire», a ajouté le président, avant de s’envoler pour Le Caire où il doit participer au sommet de l’Organisation de la coopération islamique (OCI). M. Mortazavi, actuellement à la tête de l’organisme de la Sécurité sociale, a été arrêté à 23H00 (19H30 GMT) alors qu’il quittait son bureau, et a été incarcéré dans la nuit à la prison d’Evine, dans le nord de Téhéran, selon les médias.







