-
Le PKK annonce sa dissolution et la fin de la lutte armée
-
Expulsions de fonctionnaires français d'Algérie/ Jean-Noël Barrot : La France répondra de manière immédiate, ferme et proportionnée
-
L'Ukraine affirme que la Russie a tiré plus de 100 drones malgré l'ultimatum sur une trêve
-
Le calme revenu à la frontière de l'Inde et du Pakistan
La Syrie a rejeté vendredi comme "une violation flagrante du droit international" la déclaration du président américain Donald Trump en faveur d'une reconnaissance de la souveraineté d'Israël sur la partie du plateau du Golan syrien occupée.
"La position américaine sur la partie occupée du Golan syrien reflète clairement le mépris des Etats-Unis pour les règles internationales et leur violation flagrante du droit international", a déclaré une source du ministère des Affaires étrangères syrien à l'agence de presse officielle syrienne Sana.
Israël a conquis une grande partie du Golan, soit 1.200 km2, lors de la guerre des Six Jours en 1967 et l'a annexée en 1981, mais la communauté internationale n'a jamais reconnu cette annexion.
Frontières
Des gardes-frontières américains ont repoussé jeudi en les aspergeant de gaz poivre plusieurs migrants provenant d'Amérique centrale, dont de jeunes enfants, qui tentaient d'entrer illégalement aux Etats-Unis depuis la ville mexicaine de Tijuana, selon un journaliste de l'AFP sur place.
Une vingtaine de migrants ont essayé d'escalader la clôture frontalière sur la plage de Tijuana à l'aide d'une corde, mais ont été repoussés par les agents américains. Seul un migrant a réussi à franchir la frontière et a aussitôt été arrêté, tandis que les autres ont battu en retraite.
C'est la première fois depuis le 1er janvier que les gardes-frontières américains utilisent des sprays de gaz poivre pour repousser des migrants tentant d'entrer en force aux Etats-Unis par la frontière mexicaine.
Des caravanes de migrants partent régulièrement d'Amérique centrale vers les Etats-Unis malgré les efforts de l'administration Trump pour endiguer l'immigration clandestine. La volonté de Donald Trump de construire un mur le long de la frontière, une de ses promesses de campagne, a déclenché une crise politique à Washington.