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L'artiste peintre Nawal Sekkat expose ses œuvres à la galerie Mohamed El Fassi du 14 décembre au 1er janvier 2011.
Cette exposition est une occasion pour le public de découvrir le travail de cette artiste dont les critiques d'art apprécient le travail.
Ainsi pour Alain Coudert, Nawal Sekkat conjugue les matières et agence les formes tel un écrivain des mots. Elle peint, colle, déchire, réinstalle inlassablement les éléments sur sa toile jusqu'à obtenir l'équilibre recherché. L’utilisation de feuilles de cuivre ou d'argent dans les petits formats renoue avec la tradition ancienne où la lumière était donnée par ces couleurs. Et quand la toile ne lui suffit plus, Nawal Sekkat utilise le support de tapis traditionnels marocains.
Diplômée de l'Ecole technique d'arts appliqués de Casablanca, elle a participé à de nombreuses expositions et collabore à l'organisation d'événements culturels. Sa première exposition individuelle outre-Atlantique a eu lieu en 2003; de même, elle a participé à plusieurs expositions au Maroc et en France.
Entre 2003 et 2005, elle a créé et animé un atelier de peinture pour adultes Ensuite, elle a intégré l'Association Ambre internationale au sein de laquelle elle a participé à plusieurs activités tout en organisant des expositions.
A son sujet, Danièle Schantz, directrice du Musée d'art et d'histoire de Draguignan, estime que sa peinture est une recherche de lumière, cette lumière qui selon elle, symbolise "la vie, l'existence effective». Contemplez ce blanc qui apparaît pur ou à peine mélangé, pour contrôler les flammes rougeoyantes de ces flous humains aux douces courbes cernées d'ocre, de feuilles d'or, de mauve et qui jaillissent vers une liberté que seules, parfois, les limites du cadre enferment.
L'œuvre de Nawal Sekkat, précise Daniele Schantz, est une lecture de la joie, de la rupture, de la mélancolie mais surtout de la puissance de la vie, malgré tout.
C'est une œuvre qui dissimule un message serein, fait de liberté de mouvement à l'image de Nawal, épanouie dans son identité de femme marocaine, de femme ensoleillée.
Selon Alain Coudert, les œuvres de Nawal Sekkat ne sont pas figuratives, mais imagées, dans le sens où elles sont non des constructions mathématiques ou intellectuelles pures, mais les reflets d'un imaginaire fécond, d'une expression, en quelque sorte, l'esprit d'une âme.
Cette exposition est une occasion pour le public de découvrir le travail de cette artiste dont les critiques d'art apprécient le travail.
Ainsi pour Alain Coudert, Nawal Sekkat conjugue les matières et agence les formes tel un écrivain des mots. Elle peint, colle, déchire, réinstalle inlassablement les éléments sur sa toile jusqu'à obtenir l'équilibre recherché. L’utilisation de feuilles de cuivre ou d'argent dans les petits formats renoue avec la tradition ancienne où la lumière était donnée par ces couleurs. Et quand la toile ne lui suffit plus, Nawal Sekkat utilise le support de tapis traditionnels marocains.
Diplômée de l'Ecole technique d'arts appliqués de Casablanca, elle a participé à de nombreuses expositions et collabore à l'organisation d'événements culturels. Sa première exposition individuelle outre-Atlantique a eu lieu en 2003; de même, elle a participé à plusieurs expositions au Maroc et en France.
Entre 2003 et 2005, elle a créé et animé un atelier de peinture pour adultes Ensuite, elle a intégré l'Association Ambre internationale au sein de laquelle elle a participé à plusieurs activités tout en organisant des expositions.
A son sujet, Danièle Schantz, directrice du Musée d'art et d'histoire de Draguignan, estime que sa peinture est une recherche de lumière, cette lumière qui selon elle, symbolise "la vie, l'existence effective». Contemplez ce blanc qui apparaît pur ou à peine mélangé, pour contrôler les flammes rougeoyantes de ces flous humains aux douces courbes cernées d'ocre, de feuilles d'or, de mauve et qui jaillissent vers une liberté que seules, parfois, les limites du cadre enferment.
L'œuvre de Nawal Sekkat, précise Daniele Schantz, est une lecture de la joie, de la rupture, de la mélancolie mais surtout de la puissance de la vie, malgré tout.
C'est une œuvre qui dissimule un message serein, fait de liberté de mouvement à l'image de Nawal, épanouie dans son identité de femme marocaine, de femme ensoleillée.
Selon Alain Coudert, les œuvres de Nawal Sekkat ne sont pas figuratives, mais imagées, dans le sens où elles sont non des constructions mathématiques ou intellectuelles pures, mais les reflets d'un imaginaire fécond, d'une expression, en quelque sorte, l'esprit d'une âme.