-
L’intelligence artificielle et la démocratie participative au cœur du nouveau numéro de la REIEJP
-
Pr Mohamed Knidiri : Le FNAP est l’affirmation de notre identité, de notre culture et de la force de leur profondeur historique
-
1ère édition des Rencontres méditerranéennes de Tanger
-
Sous les étoiles de la Tanger Fashion week : Luke Evans, Chopard, Vivienne Westwood, une nuit étincelante pour la Fondation Lalla Asmaa
Outre un clin d’œil à la carrière du célèbre comique national et ses sketchs qui ont fait rire des générations de Marocains, Abassi lui a expressément dédié son œuvre dans le générique de fin, illustré de photos de Abderraouf et des membres de son ancienne troupe. Un des trois encore vivants, Abbderrahim Radi, fait partie du casting qui rassemble autour de Abderraouf, une brochette d’artistes marocains (Khiyari, Noureddine Bikr, Alia Erkab, Ibtissam Laaroussi, Manal Seddiki, Souad Alaoui, Kachbal ou Zerouwal,…).
"Abderraouf et sa troupe m’ont fait rire quand j’étais petit et donné du bonheur aux Marocains. C’est donc une façon pour moi de leur dire merci !", a expliqué Abassi qui signe son deuxième long métrage après Majd en 2010, et le deuxième avec Abderraouf. S’il se dit "très fier" de représenter le cinéma marocain au Festival de Marrakech, il le ressent encore plus car son long métrage est montré dans le cadre de l’hommage à cet artiste hors pair qui n’a pourtant pas brillé au cinéma, n’ayant pas fait beaucoup de films, ce que le réalisateur trouve étonnant.