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Une expérience louable. Un consortium international de grandes écoles supérieures verra le jour ce vendredi, 24 juin courant à Fès, à l’initiative du Groupe marocain Sup'Management. Une approche à fédérer plusieurs institutions d'enseignement supérieur de renommée internationale (universités & grandes écoles), et par ricochet, mettre en synergie un grand apport scientifique et pédagogique international. La nouvelle ''Conférence intercontinentale des universités et grandes écoles'' (CIUGE) aura pour principal objectif d'être un regroupement crédible, un label international reconnu de formations d’excellence, de qualité, d’innovation académique et d’éthique.
De par l’origine des écoles et institutions qui prennent part à cette manifestation (Etats-Unis, Espagne, Pérou, France, Niger, Mali, Sénégal, Burkina, Algérie, Mauritanie entre autres), l’échange d’expérience et d’expertise sera fructueux et profitera certainement aux modes d’enseignement et à la recherche scientifique dans toutes ces institutions.
«Il existe certes plusieurs Conférences, mais ce dont nous avons besoin aujourd’hui c’est d’un consortium d’une renommée internationale et d’une crédibilité scientifique, à même de propulser l’enseignement supérieur vers de nouvelles perspectives et de pousser le cadre des partenariats à des limites lointaines», déclare Abdessalem Idriss Erkik, président du Groupe Sup’Management.
Et d’ajouter que «les enjeux de l'ouverture sur le continent africain, de la complémentarité maghrébine, des rapports avec l'Europe et le reste du monde (Amérique & Asie), suscitent en effet la nécessité de mise en place de structures à vocation régionale, continentale et intercontinentale, sur tous les plans : économique, social, politique, culturel et autres».
Pour ce qui est de ses objectifs, ce consortium mondial vise, selon un communiqué rendu public à promouvoir la formation, la culture, la recherche, l'entrepreneuriat, l'innovation, sur une échelle intercontinentale et à encourager l'apport et l'adoption progressive de nouvelles expériences scientifiques et pédagogiques mondiales, en vue de développer à terme, une nouvelle économie de la connaissance.
Le communiqué rappelle enfin qu'à la différence des associations nationales et régionales de l'enseignement supérieur, ladite Conférence bénéficie de sa dimension internationale et intercontinentale, de la diversité de ses composantes, de ses énormes possibilités d'ouverture et d'échange sur des horizons plus larges et plus variés, ce qui lui permet d’occuper une position originale.
De par l’origine des écoles et institutions qui prennent part à cette manifestation (Etats-Unis, Espagne, Pérou, France, Niger, Mali, Sénégal, Burkina, Algérie, Mauritanie entre autres), l’échange d’expérience et d’expertise sera fructueux et profitera certainement aux modes d’enseignement et à la recherche scientifique dans toutes ces institutions.
«Il existe certes plusieurs Conférences, mais ce dont nous avons besoin aujourd’hui c’est d’un consortium d’une renommée internationale et d’une crédibilité scientifique, à même de propulser l’enseignement supérieur vers de nouvelles perspectives et de pousser le cadre des partenariats à des limites lointaines», déclare Abdessalem Idriss Erkik, président du Groupe Sup’Management.
Et d’ajouter que «les enjeux de l'ouverture sur le continent africain, de la complémentarité maghrébine, des rapports avec l'Europe et le reste du monde (Amérique & Asie), suscitent en effet la nécessité de mise en place de structures à vocation régionale, continentale et intercontinentale, sur tous les plans : économique, social, politique, culturel et autres».
Pour ce qui est de ses objectifs, ce consortium mondial vise, selon un communiqué rendu public à promouvoir la formation, la culture, la recherche, l'entrepreneuriat, l'innovation, sur une échelle intercontinentale et à encourager l'apport et l'adoption progressive de nouvelles expériences scientifiques et pédagogiques mondiales, en vue de développer à terme, une nouvelle économie de la connaissance.
Le communiqué rappelle enfin qu'à la différence des associations nationales et régionales de l'enseignement supérieur, ladite Conférence bénéficie de sa dimension internationale et intercontinentale, de la diversité de ses composantes, de ses énormes possibilités d'ouverture et d'échange sur des horizons plus larges et plus variés, ce qui lui permet d’occuper une position originale.