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Selon un communiqué de la MGPAP, l’organisation de ces élections intervient conformément à l’article 10 du Dahir N.1-57-187 du 12 novembre 1963 portant statut de la Mutualité, à l’article 16 du statut de la Mutuelle générale et au Code des élections des délégués du 4 mars 2009.
La MGPAP devra publier ultérieurement un autre communiqué pour informer les adhérents des dates et lieux du déroulement des élections, précise-t-on de même source.
Rappelons que les élections des délégués qui devaient se tenir du 13 au 20 avril avaient été reportées à une date ultérieure, les ministères de tutelle (l’Emploi et la Formation professionnelle et l’Economie et les Finances) ayant décidé de refuser les candidatures des membres de l’ancien conseil d’administration dont le très contesté Mohamed El Ferraâ.
Cette décision qui trouve son origine dans les dysfonctionnements ayant marqué la gestion de la mutuelle durant ces dernières années et qui ont fait l’objet d’un rapport accablant de l’Inspection générale des finances puis de l’ouverture d’une enquête judiciaire, n’aurait visiblement pas plu à certains lobbys et des poches de résistance qui ont tout fait pour amener le gouvernement à revenir sur cette décision. En l’espace d’une journée, deux rebondissements ont marqué ce dossier: les listes des candidats affichées par la mutuelle ont été modifiées pour y ajouter les noms des membres du conseil d’administration destitués qui ont déposé leur candidature, et puis le report de ces élections à une date indéterminée.
Le gouvernement a tenté par ce report de préparer les conditions à des élections transparentes et crédibles qui seraient à même de rendre toute sa légitimité à cette institution qui, rappelons-le, a aujourd’hui à son passif quelque 550.000 dossiers médicaux non traités. La mutuelle parle en effet «d’absence de conditions démocratiques nécessaires pour que ces élections se déroulent dans un climat de transparence et de concurrence loyale entre tous les adhérents».