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Le Haut-commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l’Armée de libération (HCAR), Mustapha El Ktiri, a appelé, samedi à Tanger, à préserver et valoriser la mémoire historique en tant que capital immatériel et composante de l'identité marocaine. S'exprimant lors d'une rencontre de communication sur "la préservation de la mémoire historique nationale", El Ktiri a indiqué que la préservation de la mémoire historique, aussi bien nationale que celle partagée avec d'autres pays, est l'une des priorités de l'action du HCAR, notant que nombre d'initiatives ont été entreprises pour insuffler une nouvelle dynamique à la mémoire historique dans tous ses affluents et la promouvoir auprès des nouvelles générations.
Il a, à ce titre, mis l'accent sur l'importance d'une écriture historique responsable, globale et pointue, en coordination avec des chercheurs, des académiciens et des historiens, tout en ouvrant la voie aux jeunes chercheurs, faisant état de quelque 20 à 30 documents publiés par an sous la supervision du Haut-commissariat, dont la moitié est sous forme de thèses.
Le Haut-commissaire a également évoqué l'organisation régulière de conférences et de journées d'étude, en coordination avec les universités et les facultés marocaines, en vue valoriser la recherche et l'écriture historique sur la résistance et l’Armée de libération.
D'autre part, El Ktiri a fait savoir qu'un total de 18 pays partageant une histoire commune avec le Maroc détiennent des documents marocains d'une extrême importance, dont plus de 20 millions de documents en France, quelque 3.000 documents en Russie et 7.000 autres en Turquie, précisant que le HCAR a mis en place un programme de recherche, portant sur des visites et des partenariats, pour découvrir, récupérer ces documents déposés auprès des centres d'archives étrangers et les remettre au Centre des documents historiques pour la résistance et la libération. Il n'a pas manqué de souligner l'importance capitale de réécrire la mémoire historique commune entre le Maroc et certains pays arabes dont la Palestine et l’Égypte, mais aussi celle partagée avec des pays africains en l’occurrence la Guinée-Bissau et l'Afrique du Sud, dans la perspective de renforcer les relations de coopération bilatérale.
Notons enfin que cette rencontre est organisée à l'initiative conjointe du HCAR et de l'Organisation marocaine des nouveaux médias, à l'occasion de la commémoration du 70ème anniversaire de la visite historique de Feu SM Mohammed V à Tanger et du 61ème anniversaire de la visite du regretté Souverain à Tétouan, dans l'objectif de donner une nouvelle lecture de l'histoire nationale contemporaine et de redonner de la considération aux symboles du Mouvement national au Maroc, afin de rapprocher les générations montantes de la mémoire nationale de leur pays.
Il a, à ce titre, mis l'accent sur l'importance d'une écriture historique responsable, globale et pointue, en coordination avec des chercheurs, des académiciens et des historiens, tout en ouvrant la voie aux jeunes chercheurs, faisant état de quelque 20 à 30 documents publiés par an sous la supervision du Haut-commissariat, dont la moitié est sous forme de thèses.
Le Haut-commissaire a également évoqué l'organisation régulière de conférences et de journées d'étude, en coordination avec les universités et les facultés marocaines, en vue valoriser la recherche et l'écriture historique sur la résistance et l’Armée de libération.
D'autre part, El Ktiri a fait savoir qu'un total de 18 pays partageant une histoire commune avec le Maroc détiennent des documents marocains d'une extrême importance, dont plus de 20 millions de documents en France, quelque 3.000 documents en Russie et 7.000 autres en Turquie, précisant que le HCAR a mis en place un programme de recherche, portant sur des visites et des partenariats, pour découvrir, récupérer ces documents déposés auprès des centres d'archives étrangers et les remettre au Centre des documents historiques pour la résistance et la libération. Il n'a pas manqué de souligner l'importance capitale de réécrire la mémoire historique commune entre le Maroc et certains pays arabes dont la Palestine et l’Égypte, mais aussi celle partagée avec des pays africains en l’occurrence la Guinée-Bissau et l'Afrique du Sud, dans la perspective de renforcer les relations de coopération bilatérale.
Notons enfin que cette rencontre est organisée à l'initiative conjointe du HCAR et de l'Organisation marocaine des nouveaux médias, à l'occasion de la commémoration du 70ème anniversaire de la visite historique de Feu SM Mohammed V à Tanger et du 61ème anniversaire de la visite du regretté Souverain à Tétouan, dans l'objectif de donner une nouvelle lecture de l'histoire nationale contemporaine et de redonner de la considération aux symboles du Mouvement national au Maroc, afin de rapprocher les générations montantes de la mémoire nationale de leur pays.