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			 Cette question «ne nous préoccupe pas et ne nous fait pas peur. D’ici quelques jours les choses vont s’équilibrer», a dit M. Morsi dimanche soir, dans des propos rapportés par l’agence officielle Mena lundi.
«Le marché reviendra à la stabilité», a-t-il ajouté.
La livre égyptienne est tombée à son plus bas depuis 2004, à 6,42 livres un dollar, contre 6,36 la veille, a indiqué la Mena.
La Banque centrale a reconnu dans un communiqué samedi que ses réserves en devises, qui ont chuté de 36 milliards de dollars à 15 milliards en deux ans, étaient à un «minimum critique».
Les réserves en devises ont beaucoup servi jusqu’à présent à soutenir la monnaie nationale et à assurer des importations vitales (blé, carburants, etc).
La Banque centrale a pris une série de mesures pour limiter les sorties de capitaux, comme l’instauration d’une taxe sur le change pour les particuliers et le plafonnement à 30.000 USD par jour les retraits de devises par les entreprises.
L’économie égyptienne traverse une grave crise depuis la chute début 2011 de Hosni Moubarak sous la pression d’une révolte populaire, avec notamment une baisse des recettes du tourisme et un effondrement des investissements étrangers.
Le gouvernement égyptien a indiqué dimanche vouloir reprendre en janvier ses discussions, suspendues depuis trois semaines, avec le Fonds monétaire international (FMI) pour un prêt de 4,8 milliards de dollars.







