-
Le caftan, ambassadeur de la mode et de l’artisanat marocains à Séville
-
La négociation collective, levier essentiel pour un secteur artistique plus équitable
-
Laâyoune à l'heure de la 7ème édition du Festival du poème bédouin-hassani
-
Bahija Simou distinguée au Caire pour sa contribution à la préservation du patrimoine documentaire et des archives
Dans un nouveau message posté sur Facebook ce mercredi (en version originale corrigée par nos soins) le rappeur a commencé par assurer qu’il se fichait des critiques : «Ils peuvent parler jusqu’à demain sur moi ou mon orthographe… Ça ne m’atteint pas, lol, tant qu’il y a ma team derrière moi. Pff. J’accepte toutes leurs moqueries. » Il s’est ensuite appliqué à montrer le contraire, en s’attaquant à ceux qui se sont moqués de lui sur les réseaux sociaux.
Jul a rappelé que faire des fautes ne l’a pas empêché d’avoir du succès: « Je suis parti de rien sans savoir écrire bien et ce n’est pas ce qui m’a empêché d’écrire des tubes ! Ah bien sûr, quand je fais des Tchikita, là je sais écrire, hein», a-t-il ironisé, évoquant les critiques positives sur ses chansons qui ont le mieux marché. « Faites ce que j’ai fait en 4 ans et on en reparlera », a-t-il lâché. En fin de message, Jul a ajouté toute une série de hashtags à l’attention de ses haters. Et pour le coup, on le soupçonne d’avoir volontairement mis des fautes, tant elles sont magnifiques.










Le caftan, ambassadeur de la mode et de l’artisanat marocains à Séville

