
-
L’intelligence artificielle et la démocratie participative au cœur du nouveau numéro de la REIEJP
-
Pr Mohamed Knidiri : Le FNAP est l’affirmation de notre identité, de notre culture et de la force de leur profondeur historique
-
1ère édition des Rencontres méditerranéennes de Tanger
-
Sous les étoiles de la Tanger Fashion week : Luke Evans, Chopard, Vivienne Westwood, une nuit étincelante pour la Fondation Lalla Asmaa
"J'ai choisi de les défendre", dit l'actrice de 51 ans.
Des accusations vigoureusement démenties par Netflix. "Nous sommes profondément attachés à l'inclusion, l'équité et la diversité, et nous prenons très au sérieux toute accusation de discrimination", a déclaré à l'AFP un porte-parole du géant du streaming. "Nous croyons que notre offre initiale à Mo'Nique était équitable, raison pour laquelle nous allons nous défendre contre cette plainte", a ajouté le porte-parole.
Mo'Nique, Monique Hicks pour l'état-civil, a reçu l'Oscar du meilleur second rôle féminin pour le film "Precious" en 2009. La même année, elle avait pris les commandes de son propre talk-show, qui fut stoppé en 2011. D'après la base de données IMDB, le dernier film dans lequel elle figure est "Almost Christmas", sorti en 2016.
La plainte qu'elle a déposée jeudi auprès d'un tribunal de Los Angeles considère que l'offre de Netflix "perpétue les différences de salaires imposées aux femmes noires", qui selon le document ne gagnent en moyenne aux Etats-Unis que 61% des sommes versées aux hommes blancs. "Il semble y avoir une limite à la volonté de Netflix de rémunérer le talent de certaines catégories de population, en l'occurrence les femmes noires", accuse la plainte, qui se réfère à des offres bien supérieures qui auraient été faites à des humoristes masculins, comme Jerry Seinfeld, Eddie Murphy et Ricky Gervais.