-
Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
-
Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
-
Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
-
Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP

S’exprimant mercredi devant la 4ème Commission de l’Assemblée générale des Nations unies, M. Rodríguez a relevé que plus de 100 Etats apportent leur soutien à l’initiative d’autonomie comme “la seule solution” à ce conflit régional, rappelant l'inauguration par 30 pays de consulats généraux dans les villes de Laâyoune et Dakhla.
L’ancien chef de la diplomatie du Pérou a, de même, fait observer que la question du Sahara marocain n’est pas une question de décolonisation. Il s’agit bien d’un différend régional à caractère géopolitique créé par le pays hôte des camps de Tindouf, l’Algérie, dans le sillage de la guerre froide, a-t-il tenu à préciser.
Il a, en outre, indiqué que la soi-disant “république sahraouie” n’existe ni du point de vue légal ni dans la pratique, ajoutant que cette entité a été créée avec la bénédiction du pays hôte des camps de Tindouf, en violation flagrante du droit international dans le but de porter atteinte à l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc.
L’ancien ministre péruvien des Affaires étrangères a également noté que la grande majorité des pays membres de l’ONU ne reconnaissent pas la pseudo- “rasd”, y compris le Pérou.