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Organisée en collaboration avec le Groupe “Arts for Advocacy”, mené par les universités d’Edimbourg (Écosse) et de Keele (Angleterre) et soutenu par le Conseil de recherche en arts et humanités et les Conseils en recherche économique et social (Royaume-Uni), cette exposition est le fruit de deux ateliers participatifs de vidéo, photographie et performance, tenus en mars et octobre derniers à Rabat, sous la direction des artistes, Amine Oulmakki (Maroc) et Julien Fleurance (France) et du comédien et acteur Dabcha (Maroc), indique un communiqué de la Fondation ONA-Villa des arts de Rabat.
Cette exposition restitue la production d’une vingtaine de participants de différentes nationalités, explorant à partir de protocoles construits in situ, les possibilités du langage et de l’expression corporelle, souligne la même source. Structurée en cinq zones principales, l’exposition se compose de 15 vidéos et d’une installation sonore qui ceint l’espace de voix en différentes langues montées en boucle. Elle s’étend également pendant la 8-ème édition du Festival Migrant’Scène Rabat (4-9 décembre 2017).
“Face à l’objectif d’une caméra muée en personnage, les corps répondent d’un même mouvement, comme une matière unique. Leurs regards entrelacés et interrogateurs révèlent leurs histoires personnelles par fragments de fictions”, souligne le communiqué. “Histoires de voyages, d’obstacles, de relations, d’amour, de rêves brisés et d’espoirs renaissants permettent au public d’envisager les nouveaux horizons des récits de migrants. Et dans cet entrecroisement de regards en mouvements, l’espace de l’exposition représente, plus qu’un espace physique, un espace mentale commun où joue plus d’une analogie de la traversée, mais aussi une invitation à déconstruire les récits dominants de la mobilité”, a-t-on relevé.