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"L'art, en vérité, a ce pouvoir de nous détacher de nos certitudes et donc, de nous ouvrir au regard de l'autre, préalable indispensable au dialogue", a-t-il estimé. "L'art aiguise le regard et renforce l'écoute", permettant aussi de se prémunir "contre l'arrogance de celui qui croit détenir une vérité (...) qu'il entend imposer, et s'il le faut par la force, au reste du monde", a-t-il ajouté.
"Comment serait-il donc envisageable (...) pour toute doctrine diplomatique digne ce nom, d'exclure la culture et les arts de son modus operandi", s'est interrogé M. Qotbi, expliquant que les nations réalisent que le "soft power" ou "le smart power", désormais conçu et pratiqué comme tel par les diplomates, "devient une dimension incontournable de leur action". A cet égard, il a fait savoir que "la crispation identitaire causée par une mondialisation jugée brutale et atomisante, les tensions qui se multiplient et les rapports de force qui se redessinent, poussent les Etats à redéfinir leurs stratégies d'influence". Il a rappelé, à ce propos, que SM le Roi Mohammed VI a "très tôt, perçu ces mutations profondes" et a fait de la promotion de la culture des arts un levier de développement. "L'art est cet amplificateur de voix qui seul peut accroître la puissance de rayonnement dont notre pays a besoin", a assuré celui qui se définit comme un artiste avant tout.









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