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Mais ne dit-on pas que la fin annonce un commencement? Certes. Si le père décida de ne plus monter sur scène, le fils, Nasr Mégri, présent également lors de ce point de presse, reprend le flambeau et compte continuer sur la même voie. Pour lui, « c’est plutôt un réel baptême du feu et un moment historique » qu’il n’oubliera jamais en compagnie de son père dans son ultime concert au Festival Mawazine. Or, « avoir été choisi par le ténor des Mégri pour continuer son œuvre, est une lourde tâche et une immense responsabilité que je dois assumer sérieusement pour pérenniser le mouvement musical Mégri », finira par avouer le nouveau challenger de la World Music arabe. Dans un geste de gratitude et de reconnaissance, Hassan Mégri n’a pas manqué de remercier, en la personne de Hassan Nafali, les initiateurs de Mawazine, cet évènement artistique et culturel, soulignant que « ce grand Festival est une réelle opportunité pour l’émergence de jeunes artistes créateurs qui peuvent nous surprendre, nous donner beaucoup de bonheur, de plaisir et des instants magiques à condition de leur ouvrir les portes du succès, sans oublier pour autant le flux des grandes stars du monde arabe et des pays occidentaux ou africains qui font la fierté de ce Festival international de grande envergure ».
Le soir, le public a été au rendez-vous avec cette partition musicale jouée de concert par le père et le fils. Un réel succès. Un grand public présent sur la scène de Salé. C’est vrai, la musique, la création et l’innovation ne connaissent pas d’âge et les différences de générations. Une seule passion: la créativité musicale.








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