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Un concert haut en couleur de la musique maroco-andalouse, animé par le chanteur marocain Taoufik Amencor a fait vibrer samedi la capitale espagnole, Madrid.
Ce concert musical, organisé dans le cadre de la 7ème Rencontre de la culture andalouse, en partenariat avec la Casa Andaluza, le Centre culturel islamique et le Centre pour la Coexistence de Fuenlabrada, a été l'occasion de célébrer le dialogue interculturel, d'encourager le partage et de mettre en valeur le riche héritage de la culture andalouse en tant que vecteur de diversité et de vivre-ensemble.
Interprétant de célèbres et traditionnels morceaux puisés dans le répertoire arabo-andalou, le talentueux chanteur marocain a captivé un public réceptif avec des mélodies profondes et raffinées, empreintes de nostalgie.
Mêlant avec doigté des instruments traditionnels et modernes, Amencor et son orchestre ont rappelé les profondes connexions entre les cultures marocaines et espagnoles. Le public, en majorité des membres de la communauté marocaine, a été bercé dans un véritable voyage dans le passé glorieux de la culture andalouse, réaffirmant ainsi les liens profonds entre les deux rives de la Méditerranée.
"Ce concert s’inscrit dans la cadre d’une série d’activités de cette 7ème Rencontre, avec pour objectifs de mieux comprendre et célébrer l’identité andalouse, fruit d’une fusion entre Orient et Occident" a indiqué, dans une déclaration à la MAP, le président de la Maison régionale andalouse de Fuenlabrada, Virgilio Ortega.
Cette rencontre musicale a été précédée d’une conférence animée par Emilio González Ferrín, professeur de Pensée islamique, qui a exploré les racines et l’identité des Andalous.
Dans son intervention, il a abordé des thématiques ayant trait notamment à l’héritage culturel, les influences historiques et les valeurs qui définissent la culture andalouse, offrant une analyse qui permet de mieux comprendre les dynamiques interculturelles ayant façonné la région d'"Al Andalous" à travers les siècles.
Dans la même optique, Mme Monica Sebastián Perez, adjointe du maire de Fenlabrada, commune qui a abrité cette manifestation, a indiqué que cette rencontre constitue une occasion "précieuse" pour approfondir la connaissance de la culture andalouse.
Pour elle, cette initiative est de nature à favoriser "une meilleure compréhension de notre histoire et nos origines en tant qu'Espagnols, et, partant, établir un pont culturel essentiel entre le passé et l’avenir, entre le Maroc et l’Espagne".
Pour sa part, le président du Centre culturel islamique de Fuenlabrada, Maimoun El Amrioui, a souligné que cette initiative est à même de promouvoir les valeurs de coexistence.
"C’est un espace d’échange interculturel entre des cultures qui cohabitent à Fuenlabrada, qui se veut un modèle de la diversité", a-t-il dit.
Ce concert musical, organisé dans le cadre de la 7ème Rencontre de la culture andalouse, en partenariat avec la Casa Andaluza, le Centre culturel islamique et le Centre pour la Coexistence de Fuenlabrada, a été l'occasion de célébrer le dialogue interculturel, d'encourager le partage et de mettre en valeur le riche héritage de la culture andalouse en tant que vecteur de diversité et de vivre-ensemble.
Interprétant de célèbres et traditionnels morceaux puisés dans le répertoire arabo-andalou, le talentueux chanteur marocain a captivé un public réceptif avec des mélodies profondes et raffinées, empreintes de nostalgie.
Mêlant avec doigté des instruments traditionnels et modernes, Amencor et son orchestre ont rappelé les profondes connexions entre les cultures marocaines et espagnoles. Le public, en majorité des membres de la communauté marocaine, a été bercé dans un véritable voyage dans le passé glorieux de la culture andalouse, réaffirmant ainsi les liens profonds entre les deux rives de la Méditerranée.
"Ce concert s’inscrit dans la cadre d’une série d’activités de cette 7ème Rencontre, avec pour objectifs de mieux comprendre et célébrer l’identité andalouse, fruit d’une fusion entre Orient et Occident" a indiqué, dans une déclaration à la MAP, le président de la Maison régionale andalouse de Fuenlabrada, Virgilio Ortega.
Cette rencontre musicale a été précédée d’une conférence animée par Emilio González Ferrín, professeur de Pensée islamique, qui a exploré les racines et l’identité des Andalous.
Dans son intervention, il a abordé des thématiques ayant trait notamment à l’héritage culturel, les influences historiques et les valeurs qui définissent la culture andalouse, offrant une analyse qui permet de mieux comprendre les dynamiques interculturelles ayant façonné la région d'"Al Andalous" à travers les siècles.
Dans la même optique, Mme Monica Sebastián Perez, adjointe du maire de Fenlabrada, commune qui a abrité cette manifestation, a indiqué que cette rencontre constitue une occasion "précieuse" pour approfondir la connaissance de la culture andalouse.
Pour elle, cette initiative est de nature à favoriser "une meilleure compréhension de notre histoire et nos origines en tant qu'Espagnols, et, partant, établir un pont culturel essentiel entre le passé et l’avenir, entre le Maroc et l’Espagne".
Pour sa part, le président du Centre culturel islamique de Fuenlabrada, Maimoun El Amrioui, a souligné que cette initiative est à même de promouvoir les valeurs de coexistence.
"C’est un espace d’échange interculturel entre des cultures qui cohabitent à Fuenlabrada, qui se veut un modèle de la diversité", a-t-il dit.
Bouillon de culture
Musique
Les mélomanes de la musique arabe ont été gratifiés, samedi soir au Caire, d'un concert de haute facture animé par le groupe musical marocain "Crescendo" de la musique arabe et ce, dans le cadre du 32ème Festival de la musique arabe.
Sur la scène de l'Opéra du Caire, le groupe "crescendo" a ouvert le bal de ce concert en chantant et enchantant le public avec un cocktail musical puisé dans le riche répertoire marocain, outre d'innombrables tubes à succès, notamment "Raksat Al Atlas" et "Marsoul El Hob", entre autres.
Cette ambiance euphorique est montée d'un cran, lorsque "Crescendo" a sublimé les mélomanes en interprétant avec finesse des morceaux andalous et du melhoun bien rythmés et ponctués de chants inspirés du patrimoine musical marocain, notamment "Chams Al-Achia" et "Berrakia".
Joignant l'utile à l'agréable, les orfèvres du groupe musical marocain, dirigé par Khalil Issoulane, ont décliné avec brio les diverses facettes de la musique arabe orientale, et ont su tenir le public présent en haleine tout au long du concert, où il a repris en chœur avec eux des tubes célèbres, comme "Amal hayati" d'Oum Keltoum.
Cette édition, qui se tient au Caire du 11 au 24 octobre, a été marquée par des hommages rendus à plusieurs figures artistiques, dont le musicien marocain Fouad Zbadi, qui a donné à cette occasion deux concerts aux Opéras du Caire et d'Alexandrie.
Le programme du festival, qui propose 47 concerts, comprend des rencontres abordant des thématiques axées sur "Les affluents culturels et la réalité de la musique arabe", "La chanson arabe contemporaine et la diversité musicale", "L'impact de la chanson populaire sur la créativité arabe contemporaine" et "Les influences mutuelles entre les musiques arabe et flamenco".
Les mélomanes de la musique arabe ont été gratifiés, samedi soir au Caire, d'un concert de haute facture animé par le groupe musical marocain "Crescendo" de la musique arabe et ce, dans le cadre du 32ème Festival de la musique arabe.
Sur la scène de l'Opéra du Caire, le groupe "crescendo" a ouvert le bal de ce concert en chantant et enchantant le public avec un cocktail musical puisé dans le riche répertoire marocain, outre d'innombrables tubes à succès, notamment "Raksat Al Atlas" et "Marsoul El Hob", entre autres.
Cette ambiance euphorique est montée d'un cran, lorsque "Crescendo" a sublimé les mélomanes en interprétant avec finesse des morceaux andalous et du melhoun bien rythmés et ponctués de chants inspirés du patrimoine musical marocain, notamment "Chams Al-Achia" et "Berrakia".
Joignant l'utile à l'agréable, les orfèvres du groupe musical marocain, dirigé par Khalil Issoulane, ont décliné avec brio les diverses facettes de la musique arabe orientale, et ont su tenir le public présent en haleine tout au long du concert, où il a repris en chœur avec eux des tubes célèbres, comme "Amal hayati" d'Oum Keltoum.
Cette édition, qui se tient au Caire du 11 au 24 octobre, a été marquée par des hommages rendus à plusieurs figures artistiques, dont le musicien marocain Fouad Zbadi, qui a donné à cette occasion deux concerts aux Opéras du Caire et d'Alexandrie.
Le programme du festival, qui propose 47 concerts, comprend des rencontres abordant des thématiques axées sur "Les affluents culturels et la réalité de la musique arabe", "La chanson arabe contemporaine et la diversité musicale", "L'impact de la chanson populaire sur la créativité arabe contemporaine" et "Les influences mutuelles entre les musiques arabe et flamenco".