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La nouvelle pièce qui se décline sous forme d’un drame symbolique raconte l’histoire de trois personnages : deux femmes et un homme qui interpréteront conjointement toutes les situations. Une pièce qui accorde un privilège à l’invisible et à l’émergence d’une vision poétique… Pour Asmaa Houri, metteur en scène, les comédiens sont à la fois narrateurs, personnages et commentateurs et œuvrent à titre d’artisans scéniques du spectacle, l’influencent et le modifient tout au long du jeu,
Rappelons que “Ma ville m’a tuer” écrite par Abdellah Zrika, mêlant poésie et prose, se décline en univers mettant au-devant des histoires intimes, des rencontres mystiques et fusionnelles, des disputes chroniques, des monologues introspectifs et des questionnements contemplatifs. Le spectacle est d’autant plus fort attendu qu’il est interprété par des comédiens de renom tels que Amal Ayouch, Salima Moumni et Hassan El Jaï.








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