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Les sources du site mauritanien ont également souligné qu’au moment de sa mort, l’ancien homme fort mauritanien se trouvait dans la zone de Mijek contrôlée par les milices du Polisario, ce qui a permis à la direction de celui-ci d’être la première informée de son décès et d’en informer les autorités de Nouakchott qui étaient dans l’incapacité de se déplacer vers le lieu du drame et que ce sont des véhicules du Polisario qui ont acheminé la dépouille vers les zones placées sous souveraineté mauritanienne.
Le site mauritanien confirme que ces informations viennent renforcer les interrogations sur le refus des autorités mauritaniennes de pratiquer une autopsie ou d’ouvrir une enquête sur les causes du décès de l’ex président, surtout que parmi des cinq accompagnateurs, deux appartenaient au Polisario. Le site accuse aussi le Polisario d’avoir empoisonné cet homme supposé proche du Maroc.