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Cette rencontre s'inscrit dans le cadre de l'accompagnement du dialogue local autour de la réforme globale et profonde de la justice.
S'exprimant à cette occasion, le président du tribunal de première instance, Abdellatif Abdelmounaim, a indiqué que cette rencontre vise à contribuer à élargir le cercle de participation à ce dialogue afin d'impulser une forte dynamique à cette réforme.
Il a ajouté que la section des affaires familiales est des plus sensibles car elle est en relation directe avec le quotidien de toutes les composantes de la société et qui pose le plus de problématiques notamment en ce qui concerne la filiation, le divorce, la répudiation et le décès.
Le sujet de la justice familiale nécessite de consentir davantage d'efforts, a-t-il renchéri, soulignant que cette rencontre s'inscrit dans le cadre de la recherche des moyens les plus efficaces pour sa mise à niveau et le diagnostic des dysfonctionnements ainsi que l'amélioration de la qualité des services rendus.
Dans ce cadre, M. Abdelmounaim a plaidé pour une approche participative de tous les intervenants notamment les greffiers, les avocats, les adouls, les notaires, les experts et les traducteurs.
Les autres intervenants à cette rencontre à laquelle ont pris part les présidents des tribunaux et des chambres, des magistrats, des avocats et des chercheurs, ont abordé les problématiques et les dysfonctionnements judiciaires qui caractérisent certains domaines se rapportant à la justice des affaires familiales notamment le mariage mixte, certains types de divorces et l'établissement de la filiation.
Les travaux de cette journée d'étude ont été axés notamment sur «Les mécanismes de mise à niveau de la section des affaires familiales, «Les problématiques du mariage et des procédures de divorce et de répudiation : quelle efficacité?» et «Les problématiques de reconnaissance de la filiation durant la période des fiançailles».