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Le nouveau roman de Gabriel Banon “Les robots de l’apocalypse” vient de paraitre aux éditions “La Croisée des Chemins”. Dans son ouvrage, Gabriel Banon livre un roman géopolitique passionnant fondé sur les anticipations que certaines études permettent. Il s’agit en fait d’une incursion dans les coulisses du pouvoir, aux Etats-Unis comme en Russie et en Chine, qui transporte le lecteur de la toute première page à la dernière.
Premier du genre au Maroc, ce roman géopolitique raconte une histoire fictive avec certains personnages sortis de l’imagination de l’auteur. Il reflète également la crainte d’une possible guerre nucléaire face aux tensions qui animent aujourd’hui la scène internationale. “Le déclin évident des EtatsUnis, la montée en puissance de la Chine et les ambitions de retour de la Russie” ne se passent pas sans heurts. L’auteur emmène le lecteur dans les coulisses du pouvoir, lui fait vivre les hésitations et les états d’âme des responsables politiques à la Maison blanche, au Kremlin, à la nouvelle cité interdite de Pékin, en suivant l’enquête internationale sur l’attentat de Washington, qui va se conclure par la déflagration nucléaire.
Gabriel Banon est économiste et Conseiller économique de plusieurs chefs d’Etat. Dès le début du processus de paix au Moyen-Orient, il fut appelé auprès du président palestinien Yasser Arafat (1994-2004). Chroniqueur à la radio et à la télévision, conférencier, consultant international, il a été élu, pour 2013, géopoliticien de l’année par un panel de journalistes spécialisés à Genève en mars 2014.
Premier du genre au Maroc, ce roman géopolitique raconte une histoire fictive avec certains personnages sortis de l’imagination de l’auteur. Il reflète également la crainte d’une possible guerre nucléaire face aux tensions qui animent aujourd’hui la scène internationale. “Le déclin évident des EtatsUnis, la montée en puissance de la Chine et les ambitions de retour de la Russie” ne se passent pas sans heurts. L’auteur emmène le lecteur dans les coulisses du pouvoir, lui fait vivre les hésitations et les états d’âme des responsables politiques à la Maison blanche, au Kremlin, à la nouvelle cité interdite de Pékin, en suivant l’enquête internationale sur l’attentat de Washington, qui va se conclure par la déflagration nucléaire.
Gabriel Banon est économiste et Conseiller économique de plusieurs chefs d’Etat. Dès le début du processus de paix au Moyen-Orient, il fut appelé auprès du président palestinien Yasser Arafat (1994-2004). Chroniqueur à la radio et à la télévision, conférencier, consultant international, il a été élu, pour 2013, géopoliticien de l’année par un panel de journalistes spécialisés à Genève en mars 2014.
Khadija Naamouni
La nouvelle édition enrichie de l’ouvrage référence de Khadija Naamouni “Le culte de Bouya Omar. Le passé similaire de Lourdes” vient de paraitre. En 1993, Khadija Naamouni avait publié l’ouvrage “Le culte de Bouya Omar” et 28 ans plus tard, elle choisit de rééditer cet essai en l’enrichissant d’une comparaison avec un autre lieu de culte, bien connu, “Notre Dame de Lourdes” en France. Publié aux éditions “La Croisée des Chemins”, le livre permet notamment aux lecteurs de comprendre “ce qui se passe autour des cultes des saints, l’affairisme hagiographique ainsi que les conséquences sur les malades”.
Dans son ouvrage, Mme Naamouni indique que “le sanctuaire de Bouya Omar continue à résister à la crise violente de sa réputation. L’envergure de l’opération « Al Karama », menée par le ministère de la Santé en 2015 pour délivrer les malades, n’est pas arrivée à supplanter le recours à la grâce du saint”. “Malgré la baisse de sa capacité cultuelle et de ses activités économiques, il est toujours ouvert aux pèlerins qui cherchent à bénéficier de sa « baraka ». Même si nous sommes loin des foules de l’apogée de Bouya Omar que j’ai relevée dans mes précédentes recherches”, note l’auteur, ajoutant que le Maroc n’est pas un cas isolé. Dans toutes les sociétés, la fréquence et l’intensité des recours aux cultes thérapeutiques “sont génératrices du mercantilisme hagiographique”.
Dans son ouvrage, Mme Naamouni indique que “le sanctuaire de Bouya Omar continue à résister à la crise violente de sa réputation. L’envergure de l’opération « Al Karama », menée par le ministère de la Santé en 2015 pour délivrer les malades, n’est pas arrivée à supplanter le recours à la grâce du saint”. “Malgré la baisse de sa capacité cultuelle et de ses activités économiques, il est toujours ouvert aux pèlerins qui cherchent à bénéficier de sa « baraka ». Même si nous sommes loin des foules de l’apogée de Bouya Omar que j’ai relevée dans mes précédentes recherches”, note l’auteur, ajoutant que le Maroc n’est pas un cas isolé. Dans toutes les sociétés, la fréquence et l’intensité des recours aux cultes thérapeutiques “sont génératrices du mercantilisme hagiographique”.