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Premier du genre au Maroc, ce roman géopolitique raconte une histoire fictive avec certains personnages sortis de l’imagination de l’auteur. Il reflète également la crainte d’une possible guerre nucléaire face aux tensions qui animent aujourd’hui la scène internationale. “Le déclin évident des EtatsUnis, la montée en puissance de la Chine et les ambitions de retour de la Russie” ne se passent pas sans heurts. L’auteur emmène le lecteur dans les coulisses du pouvoir, lui fait vivre les hésitations et les états d’âme des responsables politiques à la Maison blanche, au Kremlin, à la nouvelle cité interdite de Pékin, en suivant l’enquête internationale sur l’attentat de Washington, qui va se conclure par la déflagration nucléaire.
Gabriel Banon est économiste et Conseiller économique de plusieurs chefs d’Etat. Dès le début du processus de paix au Moyen-Orient, il fut appelé auprès du président palestinien Yasser Arafat (1994-2004). Chroniqueur à la radio et à la télévision, conférencier, consultant international, il a été élu, pour 2013, géopoliticien de l’année par un panel de journalistes spécialisés à Genève en mars 2014.
Khadija Naamouni

Dans son ouvrage, Mme Naamouni indique que “le sanctuaire de Bouya Omar continue à résister à la crise violente de sa réputation. L’envergure de l’opération « Al Karama », menée par le ministère de la Santé en 2015 pour délivrer les malades, n’est pas arrivée à supplanter le recours à la grâce du saint”. “Malgré la baisse de sa capacité cultuelle et de ses activités économiques, il est toujours ouvert aux pèlerins qui cherchent à bénéficier de sa « baraka ». Même si nous sommes loin des foules de l’apogée de Bouya Omar que j’ai relevée dans mes précédentes recherches”, note l’auteur, ajoutant que le Maroc n’est pas un cas isolé. Dans toutes les sociétés, la fréquence et l’intensité des recours aux cultes thérapeutiques “sont génératrices du mercantilisme hagiographique”.